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La prisonnière du Désert

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 2219    |    Mis à jour : 10/04/2025

uvement était dicté par un destin qu'elle ne comprenait pas encore. Le silence était lourd, presque oppressant, et les échos de leurs pas se perdaient dans l'immens

, presque surnaturelle, émanant d'une petite flamme placée dans une alcôve à droite. Elle éclairait faiblement un passage plus étroit qui semblait se d

hose d'important se jouait ici, mais chaque pas la poussait à une question sans réponse : Pourquoi moi ? Pou

présence silencieuse mais imposante, guidant Alia sans mots. Ses vêtements, toujours impeccablement en place malgr

formant un cercle au centre de la pièce. L'ensemble semblait être une sorte de monument antique, en équilibre fragile entre la nature et la main humaine. Les murs étaient co

capturant le sien. Un silence pesant s'installa entre eux. Alia pouvait sentir une intensité

fin, sa voix calme, mais pleine d'autorité. "C'e

ent en elle. Elle avait suivi cet homme jusque dans cette salle secrète, loin de tout ce qu'elle connaissait, mais elle savait au

culptés. Ce cristal brillait d'une lumière blanche et pure, presque divine, et semblait contenir en son c

t ce que tu ne comprends pas encore. Tu dois toucher ce cr

itrine. Elle n'avait aucune idée de ce que cela signifiait, mais elle savait, d'une manière inexplicable, qu'

frappant son âme. Elle ferma les yeux sous l'intensité du choc, ressentant une douleur et une puissance indescriptibles. Des visions commencèr

reconnaissait sans vraiment comprendre pourquoi. Puis elle aperçut des symboles anciens, des écritures qu'elle n'avait jamais vues, ma

Il y avait une connexion. Une connexion qu'elle ne pouvait pas expliquer. Cet homme semblait l'attendre, quelque part. Un autre voy

s lumineux, comme si le monde entier venait de prendre un sens qu'elle n'avait jamais eu aup

"Tu n'es pas ici par hasard. Tu as une destinée, et tu dois l'accepter. Tout

.. je ne comprends toujours pas. Pourquoi moi ? Pourquo

déchiffrer ce que ce cristal représente, Alia. Ce que tu vois dans tes visions, ce que tu ressens da

ant sous une forme qu'elle ne contrôlait plus. Elle était coincée entre ses peurs et cette vérité qui se dessinait devant elle. Mais

s poings, dét

et s'avança vers un autre passage dans la salle. Alia n'eut d'autre choix que de le suivre. Elle était prête à affro

tremblant de la flamme qu'ils suivaient. Les murs étaient couverts de symboles qu'elle ne comprenait pas, mais qui semblaient, à chaque pas, vibrer sous son regard, comme s'ils

l'aspirait, l'entraînait dans un tourbillon d'inconnu. Tout ici semblait vieilli, marqué par les siècles, et pourtant, il y avait une énergie nouvelle, vibran

ques, et au centre se dressait une grande stèle de pierre, ornée de gravures complexes, presque hypnotiques. À son sommet, un cristal gigantesque reposait, semblabl

stèle et se tourna enfin vers Alia, ses

na dans la salle, profonde et grave. "C'est i

promesse d'une vérité qui allait enfin la libérer de ses doutes. Mais, à chaque pas, un autre sentiment g

brisée par l'incertitude. "Pourquoi suis-je ici ?

nt, comme s'il pesait cha

use, comme si ses mots avaient une gravité particulière. "Ce cristal, ce lieu, tout cela

n l'envahir. "Je ne comprends pas

sur son épaule, un geste inhabituellement

s anciens, un savoir que tu dois comprendre pour accomplir ta destinée. Mais tu n'es pas encore p

son mouvement. La lumière émeraude du cristal s'intensifia et, dans une explosion silencieuse, de

ns un autre espace. Elle vit des civilisations anciennes, des sociétés puissantes qui s'étaient épanouies bien avant son époque. Des scènes de guerres, de pai

lus sombre, plus froid, comme s'il appartenait à un autre monde. Alia le reconnut immédiatement : c'était l'homme des visions précédentes, celui qu'elle a

lante et désorientée. Elle se retrouva de nouveau dans la salle, les murs de pierre silencieux autour d'elle,

n cherchant des mots. "L'homme

vers elle, son regard marq

dans ton histoire. Il fait partie de ton passé, de ton présent, et, si

lourde promesse, mais aussi une menace. Une mena

-t-elle, le ton plus ferme, même si elle ne sava

lière, et la lumière sembla se concentrer sur lui. Tout autour d'eux, la grotte commença à vibrer, les murs s'illuminant d'un éclat inq

murmura la voix, "e

écarquillés. Mais l'homme, touj

-il, ses yeux sombres se posant sur elle av

u'elle allait choisir ici, dans cette salle, allait déterminer son avenir et celu

r ses épaules, et pourtant, elle n'avait pas peur. Ce chemin, aus

lus sûre qu'elle ne l'avait été depuis son a

rofond. Puis, dans un éclat d

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