L'alpha qui me détestes mon destin
ement du plancher semblait amplifié dans le silence pesant du manoir, et une étrange sensation
r me frappa de plein fouet : un mélange écœurant de métal et de
amoisi, et il tenait un couteau de boucher recourbé dans une main, un crochet dans l'autre. Le corps de l'animal éta
yeux vers moi, un sourire
non ?" lança-t-il en continuant son travail,
er de bloquer l'odeur suffocante. "Je ne me sens pas bien,"
fit légèrement glisser les pansements adhésifs
agaçant." Puis, sans plus s'attarder, il se remit
ts," dit-il après un moment. "La list
ai des gants et des bottes en caoutchouc avant de commencer à trier et emballer les morceaux d
ant que Colt ne brise
oit toi ici et pas Catrin
i-je, bien consciente que Catrina ne levait j
"Ouais. Mais je ne comp
rquo
aujourd'hui." Puis, changeant brusquement de sujet, il demanda : "Comment c
parcourut en repensant à la
n train de les ut
a tête, ses sourcils se
argée de regrets. "Il m'
able. "Il t'a punie juste pour
es mots. "Disons que ce n'était p
x. Il se tourna pour me faire face, son expression sérieuse.
mettre dans un souffle : "Je vou
ien. Juste un silence pesant, chargé d'une tens
aux, et vous les utilisez pour nous espionner. Je suppose qu'un loup ne
moi autre chose qu'une étrangère. Mon sourire, encouragé par ses paroles, s'effaça pourtant légèrement. "
it Colt en retournant à
Malgré sa silhouette élancée, les muscles de ses bras se tendaient et se contractaient sous l'effort. Colt avait ce sourire particulier, mi-espiègle, mi-réfléchi, qui s'accordait parfaitement à ses yeux bleu g
les premières heures du matin. Je savais que le lendemain serait rude : le manoir nécessitait un nettoyage méticuleux, et David veillait à ce que je conserve mes habit
tait à présent un jean et un t-shirt bleu foncé, qui accentuaient sa carrure athlétique. "Hé", dit-il en posant une
se, cherchant une
ée", ajouta-t-il avec
Fini les excursions improvisées. Fini les sorties anodines so
naturelle de pin, flottait encore dans l'air. Instinctivement, je pris une inspiration pro
gèrement la t
ent, de cette acuité olfactive qui ne cessait de croître ? Je craignais qu'il trouve cela ridicule. Peut-ê
ie", répondit-il
rès m'être assurée que le couloir était désert, je filai à la salle de bain pour me rafraîchir. De re
l me f
quoi étais-je capable de faire la différence ? Mon esprit tournait en boucle, incapable de s'apaiser. Les bruits du manoir, d'ordinaire rassurants, résonnaient tro
besoin d
ds effleurèrent le sol froid. Je me dirigeai vers la porte, me convainquant que je ne faisais que chercher un verre d'eau. Pourtant, lorsque j'aperçus le
'ouvris lentement la porte du porche, priant pour
et des feuillages. Une brise tiède caressa ma peau, réveillant des frissons le long de mes bras nus. Mes sens s'aiguisèrent instantanément, et mon regard se tourna vers l'orée d
loin. Seulement sentir l
herbe humide, une certitude m'envahit : cett
ofondément dans la forêt, je n'avais p
répressible de fuir m'avait poussé à m'enfoncer plus avant, loin du manoir Hexen, loin de cette cage dorée. Chaque pas résonnait c
-ce le vent qui caressait les feuillages ou autre chose... quelque chose de vivant ? Un craquement
ttendue surgit dans mon esprit : et si je ne rentrais jamais ? Et si je laissais tout derrière moi ? L'id
vi
me trouver. Mais si je disparaissais avant ? Si je coura
clair : des pas. Lourds. Précis. Pas ceux d'un animal errant,
se perdit dans le néant
nt s'éleva
s'emmêlant dans les racines traîtresses du sous-bois. L'air semblait v
, des ronces s'accrochaient à mes jambes, mais l'adrénaline me poussait en a
e entre deux inspirations paniq