L'alpha qui me détestes mon destin
tait mon visage, et chaque battement de mon cœur tambourinait dans mes tempes. C'était la chose la plus insensée q
hort en jean et à mon t-shirt gris trahissaient ma course effrénée. Les brindilles et l'herbe s'enroulaient autour de mes chevi
e ombre immense s'étendit depuis le porche illuminé. Déjà ? Non. Il ne devait pas être là. Pas maintenant. Une sueur f
se. Son costume était jeté sur le dossier d'une chaise, ses sour
grondement sourd qui me fit frisso
idissant sous son regard perça
icion. Il tendit la main et saisit la sangle de mes jumelles avec une fermet
talla avant que je ne m
» Il répéta lentement, comme si le mo
ses doigts s'attardant sur la sangle, comme s'il éval
données. Il ne fallait pas que mon frère subisse les conséquences de mon imp
este autoritaire, il saisit mon menton et leva mon visage ver
protéger si tu te faufile
rait dangereux, » balbutiai-je, m'a
es inconsciente. Il y a des créatures qui se tapissent dans l'obscurité. Des choses qu
notre meute veille sur le territoir
as, plus menaçant encore. « Je ne parle pas d'
xactement de qui il parlait. Ces ombres silencieuses, ces prédateurs invisibles responsables de la dis
en plus grave que j
Son regard perçant s'enfonçait dans le mien, une lueur d'agacement brillant dans ses prunelles sombres. « Je
-je, ma voix réduite
intrusif qui me fit tressaillir. Ces derniers temps, sa proximité me pesait plus qu'elle ne m
éveillé, tu es vulnérable. Ils le savent, Billie. Ils te testeront, te pous
eler une trace de défi. « C'est pourquoi tu dois r
me tus, redoutant sa colère. Il se pencha davantage, son souffle brûlant effleurant ma peau. « Comment peux-tu être aussi stupide, Billie Jesper ? » Ses mots
ait de moi. Sa main lâcha brusquement ma mâchoire, et je baissai les yeux, honteuse. Il saisit les jumelles posées sur la tab
ce dans ses gestes, une sauvagerie qui me donnait des frissons. J'aurais voulu en parler à Dav
mon seul lien avec l'extérieur. Une sensation de vide m'e
as minces... rien en moi ne trahissait l'existence d'un loup tapi sous ma peau. Dix-huit ans d'attente
je la laissais là, il en ferait un prétexte pour me réprimander encore. Je la ramassai, la suspendis soigne
i d'un bond, les yeux écarquillés. Neuf silhouettes apparurent dans l'embrasure, de retour de
sang, se soulevait sous une respiration contrôlée. Ses cheveux humides retombaient sur son front, et son regard d'ambre se verrouilla sur moi.
t plus menaçant que n'impo
rophe, et je pouvais sentir les braises persistan
t à chaque inspiration la brutalité de ce qui venait de se dérouler. J'avais perdu le contrôle. Encore. Chaque fibre de mon être vibrait sous l'intensité de cette fièvre sauvage, cette pulsion bes
loom avaient prêté leur force pour transporter le gibier jusqu'au manoir. Pourtant, Catrina n'en faisait pas partie. Au lieu de nous aider, elle marchait à mes côtés, ses yeux brillants d'une admiration que je trouvais presque
lle pouvait sonder mon âme, y lire les ténèbres tapies sous ma peau. Son regard n'était pas celui de la peur, mais quelque chose d'autre... un mélange de cur
je, laissant tomber la carcasse du wapiti dans
sans un mot dans l'ombre du couloir. Aurait-elle fui aussi rapidement si n
lant son bras autour du mien. Son sourire narquois dansai
, faussement compatissante. « Elle ne
de trainer les carcasses dans la dinette, tandis que je me penchai sur le wapiti gisant au sol, attrapant sa peau rêche pour le tirer vers le so
erger du couloir menant au salon. Il plongea ses mains dans ses poches
que la chasse a