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L'alpha qui me détestes mon destin

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1770    |    Mis à jour : 01/04/2025

atisfait. « Tu aurais dû être là.

sant de participer

ant vers la cuisine qui donnait sur la cour, di

our la préparation, mais la présence insistante de David me fit comprendre qu'il

aisses-tu pas les chas

surtout, pourquoi avais-je l'impression que tout cel

tement de mon cœur alimentant la rage qui m'habitait. Je laissai tomber brusquement le wapiti, mes mains poissées de sang, et mes yeu

avec froideur. « Soulevez-le par les hanches. Prenez les boi

un placard en quête d'un verre. Tandis que l'eau glacée remplissait le contenant, il se posta à mes côtés, impeccable

d'une voix neutre. « C'est toi

uai

va festoyer

quide ne parvint pas à apaiser la s

n de PMR-30 qui arrive ce soir. J'ai les mains prises avec un

uses sur le verre lorsque je le reposa

e peux t'épargner u

t ne suff

s narquois au coin des lèvres. «

érait avec quarante-quatre loups, mon propre pack était en constante dim

ssion. « J'espérais po

armes illégales. Je n'avais aucun intérêt à fa

rée, une bouteille de Merlot à la main. Elle fronça le nez devant

nd tout le monde sera

va le d

Je pensais que Colt et

sur le comptoir. « Je vais être occupée ailleurs. Pa

et son débardeur épousaient des courbes qui me donnaient

e ta livraison, » sug

fléchit.

ina s'effaça. « Qu

les patrouilles, » répon

r... » Elle battit des cils. « Mais je

cupé, » tra

n pack était une priorité absolue, et Catrina ne semblait pas comprendre cela. O

verre de vin. « Bois au moins u

is pas l

sourcil. « Ten

oin, tout en caressant le bord de son verre du bout des doigts. « Gavin a montré, une

olt du coin de l'

llants de malice. « Je pense qu'il e

ute. C'est la seule chose qui garantit l'o

ue je ne voulais pas que

oucie ? » so

que je perdi

on être. Une rage primitive, indomptable, grondait en moi, et mes pupilles s'embrasèrent d'une fureur best

ui s'était forgée en moi. Je ne leur laisserais pas le temps de me retenir. Je poussai brutalement Cat

n ricanement gl

ura David, un rictus narquois

à mon rôle futur, à ma relation avec Catrina, à l'alliance entre Dalesbloom et Petit-Bay-je ne supportais plus

et je respirai à pleins poumons l'air pur, vierge de toute corruption humaine. Le soleil agonisant projetait une lumi

nt dans un bruit sinistre alors que la transformation s'opérait. Une douleur fulgurante me traversa alors que mes mains devenaient

Indompta

chaque mouvement de la nature vibrait en moi. Ici, loin des intrigues et des obligations, j'étais enfin moi-même. Mais une odeur

insouciantes. Leurs rires s'envolaient dans la nuit, inconscients du prédateur qui les

umains se figèrent, leurs regards effrayés scrutant les ombres. Je v

œur. Un instant d

on instinct primal prit le dessu

e mon cœur, l'écho de son ryth

ssement. Je pouvais presque entendre les battements de mon cœur résonner contre les murs de ma chambre. Il y avait u

e lame effilée, et sa voix, d'une dureté implacable, résonnait encore dans mes oreilles. L'humiliation et la colère se mêlaient en moi

e mes mains avec une expression glaciale me hantait encore. Et Catrina... Son rire moqueur, cruel, un venin coulant de ses lèvres,

es étouffés provenant de l'étage inférieur s'estompaient, ne laissant derrière eux qu'un silence étrange. Un parfum épais et métallique flottait encore da

e refermer. M'approchant de la vitre, j'observai David traverser l'obscurité et mo

olt à dépec

r une réponse rapide : "D'accord." Aussitôt

de Catrina, celle de Colt, puis la grande chambre principale de David. Toutes les portes étaient fermées. Mon pas ralentit en arrivant devant la

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