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Éveil surnaturel

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 1642    |    Mis à jour : 28/03/2025

es explications confuses de Mathieu. Tout cela était trop. La révélation de sa destinée, la présence de ces créatures, cette idée

vers la porte. Il ne semblait pas surpris, com

ue c'est difficile. Mais tu n'es pas seule, j

ssait le seuil de la porte. Elle n'eut même pas la force de répondre, n

t qu'une simple humaine, avant de rencontrer Mathieu, avant d'être entraînée dans cet univers étrange et menaçant. Elle se demandait si elle n'avait pas rêvé tout cela, si elle n'était pas en train

Elle était perdue, elle ne savait plus qui elle était ni ce qu'elle devait devenir. Ce qu'elle ressentait pour Mathieu, ce mélange d'attirance e

t, son cœur battant la chamade. À quelques pas d'elle, une silhouette se

a une voix gra

ix. Mathieu. Elle se leva d'un bond, prête à prendre la fuite si nécessai

? demanda-t-elle, se

e. Un avertissement, une clé. Quelq

faible, Léna aperçut un petit objet qu

st ? demanda-t-elle

ndre, tu devras le porter. Et chaque fois que tu douteras, chaque fois qu

accepter, à faire ce geste. Elle tendit finalement la main, se surprenant elle-même par cette impulsion, et accepta le pendentif. Dè

t. Des bribes d'un monde ancien, où des créatures se battaient, des guerriers et des entités aux po

té. C'est un lien que tu dois apprendre à maîtriser. Mais pour le moment, gard

battant la chamade. Elle déglut

? murmura-t-elle, encore

ondit pas immédiatement. Il observa l'horizon com

ie d'un jeu plus grand, Léna. Un jeu que tu

dans son esprit. Mais quelque chose en lui, quelque chose dans la profondeur de ses yeux, la conv

partir, Mathieu se tourna u

res te surveillent. Et ils n'at

rité, laissant Léna seule avec le pendentif da

talla autour d'elle. L'air, frais et humide, s'engouffrait dans ses poumons alors qu'elle tentait de reprendre le contrôle de ses pensées. Il lui avait dit que d'autres la surveillaient, qu'elle était une pièce

ce petit objet portait en lui un pouvoir qu'elle ne comprenait pas encore. Elle leva les yeux vers le ciel, observant les étoiles qui semblaient plus proches qu'elles ne l'étaient en réalité. Les p

et vit qu'elle avait un message de Julie, sa meilleure amie. Un simple « Ça va ? » apparaissait

sin, la lumière d'un lampadaire s'éte

blait lui rappeler qu'elle n'échappait plus à ce monde qu'elle venait de découvrir. Elle le laissa pendre dans ses doigts, regardant chaque fa

archait à une allure rapide, ses traits marqués par une concentration qu'elle n'avait pas remarquée chez lui jusqu'à présent. Il semblait presque..

ardant une distance suffisante pour ne pas être vue. Ce qu'il faisait ici à cette heure de la nuit n'était pas normal. Elle n'avait p

entifier, mais qui la menaçait de l'engloutir. Elle accéléra le pas, curieuse mais inquiète. Elle devait savoir. Le voir reve

oitrine, l'attente augmentant chaque seconde. Mathieu s'arrêta finalement, s'adossant à un mur de briques, les bras croisés sur son torse. Il ne semblait plus ch

t vers Mathieu, un sourire presque imperceptible sur ses lèvres. Léna se tassa contre l'arbre, son souffle retenu. Elle n'avait jamais vu cet homme auparavant,

, mais trop lointain pour qu'elle puisse comprendre les paroles.

a, murmura une voix

enait derrière elle, les yeux sombres, son regard fi

cun doute : ce nouvel arrivant savait qu'elle les

toi, dit-il calmement. Ce n

pondre. Le son d'un cri perça

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