Éveil surnaturel
réfléchir. Elle se précipita en avant, poussée par un instinct qu'elle ne comprenait pas. Le nouvel arriva
enait de la direction où elle avait vu Mathieu et l'homme mystérieux. Elle s'arrêta brusquement en atteignant un vieil entrepôt aba
lla son dos contre le mur de l'entrepôt, son regard scrutant l'obscurité. La scène semblait se jouer à une vitesse folle, trop vite pour qu'elle puisse l
s tôt, celui qui avait surgi derrière elle. Mais ce qui la fit frissonner, ce n'était pas la discussion elle-même, mais l'intensité de la situation. Math
dit l'homme d'un ton sec. Ce n'e
ssurante, tremblait cette fois-ci. Léna sentit
e inaudible. Ils vont me tuer. Et si je te laisse fa
comme si la situation n'avai
tu n'as pas respecté ton engagement. Alors, il est
ui se déroulait devant elle. Une guerre qu'elle ne comprenait pas encore, mais qui la concernait désormais. Elle sentai
ne lumière vive éclata dans l'obscurité, suivie d'un bruit sourd. Un autre cri. Cette fois-ci, c'
C'était quelque chose de plus profond, de plus effrayant. Elle sentit une énergie s'éveiller en elle, une pulsion
aperçut Mathieu, les mains serrées autour de son torse, ses yeux emplis de terreur. L'autre homme
sque, presque monstrueuse, émergeant des ténèbres. Léna n'eut pas le temps de réagir. L'ombre s'approcha de Mathieu
e semblaient attendre, immobiles, c
? siffla l'une des silhouettes. Tu ne sav
à terre, leva les yeux vers l'ombre géante qui se tenait au-dessus de lui.
n'avez pas compris, vous n'avez pa
qui venait d'apparaître, à peine à quelques mètres d'eux. Leurs yeux se braquèr
impression d'être prise dans un piège dont elle ignorait les tenant
plus insistants, plus pressants, chaque mouvement de ses mains semblait devenir un acte risqué. Elle pouvait se
corps, comme si quelque chose d'invisible s'éveillait en elle. Le regard des créatures sur elle ne faisait
Son regard glissa de Mathieu à Léna, un éclair de reconnaissance – ou était-ce de mépris ? – traversa ses pru
ommes dans la pièce, sa voix comme un mur
ant la terreur dans ses yeux. Ce n'était pas la terreur d'une simple v
-elle d'une voix brisée, sans même se rendre co
tte se redressa, ses traits se modelant à la lumière de la faible lueur dans la pièce. L'expression de son visage était une parfaite combinaison de froideur et d'intensité, une pure menac
t de répondre. Sa voix profonde ré
ous attendions. Tu es celle qui pourra briser ou ouvrir la porte de ce que tu ne comprends même pas encore. N
humaine pouvait être liée à quelque chose d'aussi vaste, d'aussi terrifiant. Les images des phénomènes ét
tremblante mais déterminée. Il n'y a
répondre à cette question était au-delà de ce qu'il était prêt à
connais, tout ce que tu crois comprendre, est sur le point de s'effondrer. Mathieu,
chaleur étrange, insoutenable se former autour d'elle. C'était comme
. Le cri semblait provenir de l'extérieur, un son aigu, désespéré, qu'elle reconnaissait. C'était celui de quelq
tendu ce cri, car elles se tournèrent toutes brusquement vers la porte, prête à attaquer ou à fuir. Ma
, sa voix brisée par la terreur. Ce que tu cherche
t une silhouette imposante s'avança, éclipsant tout sur son passage. Les autres créatures
regard perçant braqué sur Léna. Il y avait quelque chose
nde, qui semblait percer les ténèbres. Nous savons m