icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
La Compagne Perdue de l'Alpha

La Compagne Perdue de l'Alpha

icon

Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 2131    |    Mis à jour : 22/03/2025

plus rien. Ses oreilles bourdonnaient, son cœur battait à en éclater sa poitrine, et ses yeux étaient fixés sur Lucian. Leurs r

mpaient peu à peu. Seul le visage de Lucian, pâle et glacé, restait ancré dans son esprit. Ses lèvres b

pas dign

leur sourde, insupportable. Son corps se tendit, ses poings se serrèrent. Elle ne comprenait pas. Ce n'était pas possible. Ce n'était pas lui. Cel

ais voulu de

le sentit sa gorge se nouer. Comment cela pouvait-il être vrai ? Comment cet homme, celui qu'elle avait aim

ouloir intervenir. Lyra tourna les yeux vers eux, mais elle ne vit que des visages marqués par une expression d'indifférence glaciale, co

la force, la puissance, l'autorité. Mais à ce moment-là, il n'était plus que l'ho

'aggravait. C'était comme si tout s'était arrêté dans le monde. L'air se bloquait dans ses poumons. Il

s, tranchants, sans la moindre trace de regret. « Tu es faible. Tu ne

comme un étau autour de ses poumons. Comment ? Comment pouvait-il la repousser ainsi ? Elle n'avait jamais été plus proche de lui, plus dévouée

Comment réagir face à un tel coup ? Un coup qui l'isolait, qui la mettait à l'écart de tout ce qu'elle avait connu, tout ce en quoi elle avait cru. Un coup si br

é, son pouvoir. C'était l'Alpha. Il avait toujours été l'Alpha. Mais aujourd'hui, c'était un Alpha seul, u

a meute se mêlaient dans une cacophonie sourde, comme si le monde autour d'elle était devenu flou et indéfini.

leur dans son regard, une trace du passé, de ce qu

ra enfin, sa voix brisée, comme un fil fragile sur

il se détourna rapidement. « Tu n'es rien. Plus rien. Ce

t dans sa paume. Le dégoût qu'elle ressentait pour lui, pour ses paroles, s'ajoutait à la douleur qui la dévorait. Comment avait-elle p

endaient tous. Ils étaient tous spectateurs de cette tragédie. Lyra se sentit soudain plus seule que jamais. Ell

mença à grandir. C'était peut-être ça. Ce qu'il voulait d'elle. C'était ce qu'il avait toujours vo

e dignité en restant là, à attendre un pardon qu'elle ne recevrait jamais. La foule se déplaça pour la

le n'était plus qu'un souffle, une silhouette dans l'ombre, mais elle savait une chose : elle ne se soumettrait pas. Pas maintenant. Pas après t

aire, de ce qu'elle venait de perdre. Mais au fond, dans une partie d'ell

ne savait plus comment fuir. Ses pieds frôlaient à peine le sol, comme si elle était déjà en train de disparaître, de s'effacer. L'image de Lucian, debout devant la meute, la rejetant

ontre la meute qui, dans son silence, avait accepté cette humiliation. Elle savait que personne ne viendrait la chercher. Pers

e cette trahison l'enserrer un peu plus. La honte s'insinuait dans chaque fibre de son être, chaque pensée. Elle avait cru, pendant toutes ces années, que Lucian était son refuge, so

ute, avec cette identité qui ne signifiait plus rien. Il fallait qu'elle disparaisse. Il fallait qu'elle se cache

trace d'elle-même, tout ce qui la reliait à ce passé qu'elle voulait enterrer à tout prix. Les arbres, les pierres, tout devenait flou autour d'elle. Elle avait l'i

ltrait sous ses vêtements, mais elle ne ressentait plus rien. La douleur, la colère, la honte, tout se mélangeait dans un tourbillon intérieur. Elle avait cru, au fond d'elle, que son amo

be humide. Elle ferma les yeux, cherchant à rassembler ses pensées. Mais rien ne venait. Le vide était total. Lucian était

sur ses joues, inutiles, silencieuses. Elle ne pouvait plu

t, mais elle n'y prêta pas attention. Elle se leva une nouvelle fois et commença à marcher, sans

. Il n'y avait qu'une seule option : s'éloigner des regards, s'échapper de tout ce qui pouvait la rattacher à

douloureuse qu'elle devait accepter. Il n'y aurait pas de retour en arrière. Elle avait cru que l'amour pouvait réparer ce qui avai

, cherchant à repérer quelque chose, un signe de vie, mais il n'y avait rien. Que des ar

ps d'effacer toute trace de son existence. Ses yeux se posèrent sur la rivière qui serpentait devant elle. L'eau était sombre, calme, implacable. Elle pourrait tout effacer, tout em

pas une pensée. Juste la certitude qu'il n'y avait plus rien à attendre. Elle marcherai

ntôt, une pensée qu'elle tenterait d'oublier, tout comme elle effacerait son passé. Elle n'avait plus d'autre choix

la douleur, elle, sera

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir