L'Ex-Femme du PDG

pit

compter les minutes, bien que chaque seconde eût l'air de durer une éternité. Quand elle avait vu les deux lignes se dessiner lentement, son cœur avait loupé un battement. Les

s émotions se bousculaient dans sa poitrine. Le bonheur était un frisson doux qui la traversait, une petite flamme qui, même fragile, semblait prendre racine au fond d'e

... Non, elle ne pouvait pas être enceinte. Pas dans ces conditions. La colère montait en elle, mais elle la retenait, r

ssus. Elle ferma les yeux un instant, essayant de calmer l'agitation qui lui se

femme dans la pièce. Chaque sourire échangé, chaque rire partagé entre eux avait été comme un poison lent, que Marianne n'avait pas voulu avaler mais qu'e

rait. Un mariage solide. Une famille. Mais avec Juliette, avec ce regard qu'il posait sur elle... cela semblait irréaliste. Elle ne pouvait pa

dans sa poche, espérant secrètement que l'instant passerait, que la vérité pourrait attendre

vant Léonard. Il était là, décontracté, souriant à Juliette, comme si rien ne pouvait troubler ce moment. Elle sentit une boule se former dans sa gorge. Il avai

remarqué sa présence jusque-là. Un frisson de frustration secoua Marianne. Elle n'avait pas la force de tout lui dire maintenant. Pas alor

nt. Elle aurait dû être plus calme, plus détachée. Mais elle avait l'impression que chaq

régler. Rien de grave. » Ses yeux se tournaient déjà vers Juliette, qui n'avait pas

it juste en face d'elle. Elle baissa les yeux sur ses mains, serrant les poings contre ses cuisses. Et si... Et si tout cela éta

mme s'il avait trouvé la force de lui accorder quelques second

érer. Les mots restaient coincés dans sa gorge, luttant pour sortir, mais ils n'avaient pas leur place i

furtif à Marianne, avant de se diriger vers la porte d'entrée. « Je vai

ec Juliette. L'ancienne amante de Léonard. La femme qui n'avait jamais cessé d

pas un mot, mais elle ne pouvait pas se permettre de laisser

. Elle se contenta de la regarder, un air presque amusé sur le v

e. » Elle se détourna avant que la conversation ne devienne trop gênante. Elle n'avait

er ses pensées. Marianne le regarda, le cœur battant la chamade, et décida que c'était le mo

, comme s'il ne compr

onna dans l'air comme un coup de tonnerre, tout