L'Ex-Femme du PDG
pit
pas tout de suite, ou peut-être jamais. Elle ne s'en inquiétait pas. La seule chose qui comptait, c'était qu'elle parte. Qu'elle s'éloi
poir de retour. Ses pas l'avaient menée droit vers la rue, vers un ailleurs. Un ailleurs qu'e
e savoir les détails pour savoir qu'elle avait franchi la ligne de non-retour. Sans un mot, il l'avait prise dans ses bras, comme si cela pouvait réparer tout
aussi ferme, aussi décidée. Il savait que les raisons étaient nombreuses, que chaque mi
était impossible. Ce qui la hantait, ce n'était pas le départ en soi, ni la colère, ni la tristesse, mais l'idée qu'il ne viendrait pas la chercher. Pas maintenant. Peut-ê
e n'arrivait pas à toucher. Mais il n'insista pas. C'était une question de temps. E
de voix familières venant lui rappeler qu'un monde l'attendait encore dehors. Il y avait juste le silence et ce
'était dans ces moments-là qu'elle ressentait la solitude d'une manière plus cruelle. Elle avait laissé une parti
l'après-midi que le téléphon
dire « bonjour ». Sa voix était froide, comme s'il cherchait juste à savoir où elle était, sans comprendre l'urgenc
rlait pas avec cette tendresse qu'il ne lui avait jamais donnée. C
mps, Marianne se sentit en paix. Il était parti. Elle était partie. Et même
maison, cherchant un écho dans le vide. Il passa devant la porte de leur chambre, s'arrêta une seconde, puis tourna le dos à l'angoisse qui montait
ien non plus. Rien qui trahisse la présence de Marianne, rien q
se durcirent en parcourant les mots qu'elle avait soigneusement écrits. Elle ne l'avait pas accusé, pas directement. Elle n'avait pas cherché à le b
su me choisir. » Il s'arrêta sur ces mots.
Comme il l'avai
t il ne savait même pas s'il en avait envie. Pas mai
geait rien. Elle avait disparu. Et il ne savait même pas si ça le perturbait plus qu'il ne l'admettait. Il se leva et se dirigea ve
n'aurait pas de réponse à se