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L'Ex-Femme du PDG

L'Ex-Femme du PDG

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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 2313    |    Mis à jour : 14/03/2025

pit

le mais chargée d'un présage inéluctable. Au cœur de cette agitation feutrée, Marianne se trouvait aux côtés de L

arquait la manière dont ses yeux s'illuminaient en sa présence, comme si un vieux feu, laissé en sommeil depuis trop longtemps, venait de renaître. Marianne essaya de rassembler ses

connaissance, glissant dans la conversation avec une déli

ut va bien... » répondit-elle, mais les mots sonnaient creux, presque mécaniques. Elle observait Léonard, qui

angés par-là, tout semblait converger vers une idée simple : Léonard et Juliette avaient retrouvé quelque chose de plus que de l'amitié. Ch

guée au second plan, toujours celle qui supportait les silences et les absences, toujours celle qui devait accepter de p

était la voix de Clémence, une amie de longue date dont l'intuition avait toujours su déceler les failles du cœur. Marianne

lisser quelques paroles d'encouragement. Le regard de Marianne se perdit alors dans la

angés étaient parfois teintés d'une nostalgie qui parlait d'un passé commun, d'un temps où les sentiments se confondaient et se laissaient aller sans retenue. « Tu te souviens, Juliette, quand nous fais

parsemé de reliques de vieux amours et de désirs oubliés. Pourtant, rien ne l'avait préparée à l'amertume de cette révélation silencieu

. Elle se rappelait les promesses murmurées autrefois, les serments d'amour gravés dans le secret d'un instant fragile. Ma

importante que la leur. » Ces mots, simples et sincères, firent écho dans le cœur de Marianne, lui rappelant qu'elle n'était pas seule dans cette lutt

ait saisissant. Là où elle se sentait invisible, lui rayonnait d'un enthousiasme déconcertant, comme s'il redécouvrait une part de lui-même oubliée depuis longt

dirait qu'ils se retrouvent comme autrefois... » Ce chuchotement, porteur de vérités inavouées, se fit écho dans l'espri

n de temps elle pourrait continuer à supporter ce jeu cruel où les apparences masquaient des trahisons profondes. Elle se souvint d'un moment intime, d'une

ormais engloutis par un désir retrouvé pour une autre. Son regard se fixa sur le visage de Léonard, sur ce sourire qui semblait en dire long su

ule. « Regarde-toi, tu es bien plus forte que tu ne le crois. » Mais ces mots, aussi réconfortants soient-ils, ne pouv

e portait la promesse d'un amour véritable. Ce soir, cette lueur avait disparu, remplacée par une froide indifférence

résignation se fit jour, alors qu'elle tentait de masquer ses tourments derrière un masque de calme apparent. Mais chaque sourire de

a seule pour moi. » Ces mots résonnaient désormais comme une trahison silencieuse, une note dissonante dans la symphonie de l

sitante. Ce fut un geste qui aurait pu être porteur de réconfort, mais qui, dans le tumulte de ses émotions, ne fit qu'intensifier sa douleur. Elle releva les

que ses yeux cherchaient des réponses dans ceux de son mari. Mais la réponse res

ns l'ombre, n'est-ce pas ? » La remarque fit frissonner Marianne, lui rappelant que dans ce jeu de regards et de silences, chacun jouait sa

en commentaires acerbes, et Marianne se retrouvait coincée entre l'envie de fuir et la nécessité de comprendre. Chaque instant passé aux côtés de

son être. Pourtant, malgré la douleur, un éclat de détermination commençait à poindre en elle. Peut-être que cette soiré

force tranquille : « Parfois, il faut accepter de se perdre pour mieux se retrouver. » Ce conseil, bien que simple,

'un chagrin inavoué. Marianne sentit alors les larmes monter, non pas pour la douleur immédiate, mais pour l'accumulation de tous ces instants de trahis

. Chaque sourire échangé, chaque geste amical avec Juliette, semblait être un rappel cruel de l'éloignement grandissant

mots. Marianne aperçut dans les yeux de son mari une lutte intérieure, une bataille entre ce qu'il avait été et ce qu'il voula

Marianne resta un instant immobile, absorbée par ses pensées tumultueuses. Le dernier éclat de rire

heurtait à la dure réalité de ce qu'elle venait de vivre. Chaque pas qu'elle faisait ce soir-là semblait la mener un p

arler à sa place, de ne plus se taire devant l'injustice d'un amour dévoyé. Ce gala, avec ses murmures et ses regards échan

aissante, allaient bientôt guider chacun de ses pas dans la tempête qui se profilait. La soirée n'avait pas apporté les réponses qu

évidente avec Juliette ne pouvait masquer la fissure qui se creusait inexorablement dans son cœur. Même s'il affichait un sourire détaché, quelque part en lui, il savait que le chemi

Marianne, c'était le début d'une lutte intérieure contre un amour qui ne semblait plus appartenir qu'à un passé révolu. Et pour Léonard, c'était le mo

e restait lourd, meurtri par les éclats d'un amour qui se consumait, tandis qu'elle se demandait combien de temps encore elle devrait endurer ce silence qui en disait lon

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