L'Alpha Déchu et Sa Dernière Chance
ha fut aussi brut
s'accrocha à la nuit, son regard passant de visage en visage, à la recherche d'une once de loyauté. M
cha-t-il dans u
on. Luther. Ce nom résonna dans sa tête comme une condamnation. Elias ne vit pas le coup venir, pas immédi
u as rencontré cette femme, tu n'es
re, haletant, tandis que les silhouettes autour de lui semblaient se resserrer, un cercle mortel
voir avec ça, cracha
ne, quelque chose en lui avait changé. Moins impitoyable. Moins aveugl
méprisan
ux. Tu n'es plus dign
nuit. Son cœur se contracta sous le poids de la trahison. Il tenta de se relever, mais une nouvelle douleur explosa dan
ct entre ses omoplates. Il hurla. Un cri animal, rauque et déchirant. L'odeur de sa propre chair calcinée emplit l'
her avec une satisfaction perv
sulte. Mais c'était impossible. Elle était en lui, désormais.
chercha un visage familier, un souvenir d'un temps où il croyai
a Luther d'une voix froi
ivit fut plus cru
ne image s'imposa à son esprit, balayant toute autre pensée : I
o
Il sentit leurs regards brûler son dos, leur mépris peser sur ses épaule
itoire, le froid de la nu
ière lui son p
derrière l
encore ce monde, même si
embre de sa propre meute. Il n'était qu'un fantôme errant, une silhouette dissimulée entre les arbres sombres des territoires ou
ait parfois, un rappel cruel de ce qu'il avait perdu. Il avait tenté de l'effacer, d'arracher la peau
es sens en éveil. Quelque
ant la menace avant même qu'elle ne se montre. La créature jaillit des ténèbres, mas
ersaire, murmura Elias en flé
r instant. Son corps réagit avec une précision surnaturelle, esquivant de justesse la
fut bref
ir en un seul mouvement fluide. La bête se débattit, un gargouillement d'agonie s'élevant de sa g
rapide, fit une v
Mais la silhouette qui se tenait là, en bordure
façon d'accueillir
lus d'amis,
éré. Dorian. L'un des rares mercenaires surnaturel
, annonça-t-il. Je me suis dit
ussa un
d je me souci
sourit
nt traqués par les
hasseurs étaient devenus plus audacieux ces dernières années. Ils ne se c
Où
, près de
n'hési
ieds effleuraient le sol, rapides, silencieux. Il sentait la présence humaine avan
la menace. Ses cheveux sombres cascadaient en désordre sur ses épaules, son visage marqué par l'épuisement.
tre, cracha
t
Sa main saisit l'arme, la brisant en un mouvement sec. Le chasseur n'eut
e pesant
e fixait,
loup, mur
ne qui traîne là où
eur, à la panique. Ma
m'as
ssa le
mercie pas
objet tombé au sol. Une lettre, plié
t-ce qu
de seconde. Juste assez p
d'imp
'elle ne puisse le ranger. Son regard parc
n cœur
ol
ile. Et juste en dessous, une phr
s du mariag
Cinq ans sans un mot, sans un signe d'el
da-t-il en relevant un re
ta, puis
Ka
prit comme une détonation.
t sourd mont
a lettre entr
nsait qu'il
ait pouvoir
se tr