L'Alpha Déchu et Sa Dernière Chance

, même entourée par des chaînes

monde à elle, un monde de liberté, était désormais révolu, et malgré le confort qui l'entourait, elle se sentait plus prisonnière que jamais. Kael, l'alpha a

le n'avait jamais été. Elle n'avait pas accepté le rôle de

le sol froid. La brise fraîche caressa sa peau, et elle inspira profondément, comme si cet air pouvait l'éloigner des chaînes invisibles qui

ut son échine en pensant à Elias. L'homme qu'elle avait aimé. L'homme qu'elle croyait perdu. Leurs souvenirs étaient encore viva

t perdue qu'il avait connue. La guerre, la trahison, les mois de solitude.

e papiers soigneusement organisés attendaient son attention. Par-dessus, il y avait

mais elle ne s'arrêta pas sur la beauté du geste. Elle savait ce qu'il contenait. Un collier. Un symbole d

ser avec de telles offrandes, pensait qu'elle céderait à ses gestes calculés. Mais il ne la connaissait pas. Elle n'étai

sauter. Elle se retourna vivement, son regard se durcis

iens alliés, une figure obscure au sein de la meute, mai

is prudente, dit-il d'une v

sonnière de cette meute, Merin, et per

une once de sincérité dans son regard. Mais ce regard étai

murmures, et pas des bonnes.

rcils, un léger souri

m'enfuis à nouveau ? Que je quitte to

Kael a des alliés puissants. Ce n'est pas juste un

son dos. Elle n'avait jamais pris

es alliés en dehors de la m

ment, mais son silence était

dois continuer à avance

ce qu'il voulait dire. La promesse qu'elle avait faite à Elias. De ne jamais

tout. Elle savait qu'elle ne pouvait pas fuir. Pa

échapper un s

me trouver. Mais je ne peux pas garan

était apparu, laissant derriè

es du vent étaient de plus en plus forts, plus insistants. Elle se leva brusquement, se di

griffant le tissu. Les larmes montèrent, brûlantes,

ire qu'il était mort. N

n'arrivait pas à échapper à l'image de sa perte. Une perte qui lui avait arraché la vie, une vie qu'elle essaya

ion. Elle ne pouvait pas se permettre de le regretter. Elle ne pouvait pas s'arrêter. Pas

ose qui la maintenait en vie, c'était ce rêve. Ce