"Au Cœur de la Mafia"

ans l'ombre, observant la scène qui se déroulait devant elle. Elle n'avait jamais vu les frères Corleone dans un tel état. Ils étaient tous trois là

une balle tirée, chaque phrase un coup porté. De l'extérieur, on aurait pu croire qu'il s'agissai

reproches s'accumuler, les accusations de trahison, les menaces voilées. Chaque parole prononcée par les Corleone était chargée

es muscles de son cou tendus comme une corde prête à se rompre. Il avait toujours été le plus calme, le plus réfléchi, mais aujourd'hui, il semblait sur le point de tout faire e

fondre dans l'ombre, mais l'atmosphère dans la pièce était trop lourde. Elle savait que cela pouvait dégénérer en un instant. La violence

ommes présents, et c'était comme si le temps s'était arrêté. Il n'avait pas besoin de crie

sque monotone. « Les Corleone ne sont pas faits pour se disputer comme d

de la guerre qui pesait lourdement sur les épaules de ces hommes. Les Corleone étaient des

isage, cherchant quelque chose. Elvie sentit un frisson courir le long de so

na-t-il d'un ton qui ne s

se par Adriano semblait la mener plus profondément dans l'abîme. Chaque moment passé dans cette villa, à travailler pou

driano était calme, trop calme, comme s'il était déjà dans un autre monde, plus loin que le simple danger immédiat. Il sembla

e fasse bien plus que ça. Il la poussait à ses limites, à explorer des zones qu'elle ne voulait pas connaître. Et cette fois-ci, elle savait qu'elle n

abandonné, un endroit qu'Elvie avait déjà vu dans les rumeurs, mais qu'elle n'aurait jamais imaginé visiter. Ici, au milieu de la ville, d

mais cela ne faisait pas disparaître la peur qui lui nouait l'estomac. Elle savait qu'à chaque instant, la situation pouvait dégénérer. Les regards éch

elle, n'était qu'une spectatrice dans ce monde où les hommes étaient prêts à tout sacrifier pour obtenir plus de pouvoir, plus de contrôle. Mais malgré la terreur qui la

mais chaque phrase était lourde de menaces. Elvie se tenait là, au milieu de cette danse dang

s affamés, ne laissaient jamais de place à la tranquillité. Ils se nourrissaient des faiblesses des autres, des erreurs qu'ils

C'était une guerre ouverte, une guerre où les morts étaient devenus monnaie courante. Et Elvie savait qu'elle ne pouvait pas échapper à

quartier proche de la villa des Corleone s'était terminée dans un bain de sang. Un membre d'une famille rivale avait été tué en pleine rue, sous les yeux des pass

cette fois dans une salle fermée, leurs visages graves et tendus. Adriano n'avait pas besoin de parler pour que

e, sans se détourner de la fenêtre qui surplomba

e, elle savait que les choses ne seraient plus jamais comme avant. La violence qui montait, le chaos qui dévorait t