"Au Cœur de la Mafia"
uel elle n'avait pas choisi de s'engouffrer. Il y avait des moments où elle se sentait accablée, où la solitude l'envahissait. Mais quelque chose avait changé en elle, un déclic qu'elle ne comprena
cette façade impassible et autoritaire. Mais il était une énigme, un homme dont les émotions étaient aussi profondes et inaccess
fois dans des moments où elle se sentait particulièrement seule. Giovanni était d'un calme étrange, une sorte de calme menaçant. Mais sous cette tranquillité apparente, E
Il y avait quelque chose dans sa façon de la regarder, quelque chose de différent. Elle savait qu'elle risquait gros en écoutant ce qu'il avait à d
l allait dire ne devait jamais quitter cette pièce. Il s'assura que personne ne pouvait les entendre avant de r
cherchant à saisir le moindre indice. Giovanni n'était pas du genre à
ule, n'est-ce pas ? Il te laisse croire qu'il est juste un homme de pouvoir, mais c'est
avait toujours su qu'il y avait plus derrière les actions d'Adriano, mais elle n'avait
dans tout le pays », continua Giovanni, les yeux brillants d'une détermination nouvel
la guerre entre les familles était une simple question de pouvoir, de territoires, mais il y avait quelque chose de pl
Elle était déjà trop impliquée, trop connectée à cette famille, et si elle ne faisait pas attentio
e tout contrôler, de sa volonté de devenir le seul maître, le seul homme capable de diriger le clan. Et cette ambition, Gio
droit dans les yeux. « Il te voit comme une pièce dans son
le n'était qu'une simple assistante dans cette guerre de pouvoir, une petite pièce dans un jeu dont elle ignorait les
e, à l'abri des regards. Il se tenait là, toujours aussi calme, mais son regard trahissait u
on si mesuré qu'il en devenait presque glacial, « tu fais du bon tr
e en garde. Adriano était bien trop intelligent pour se laisser duper, et il savait très bien qu'elle n'était q
peut-être que tu contrôles tout, mais tu ne fais que jouer un rôle
lle. Chaque mot qu'Adriano prononçait semblait un peu plus lourd, un peu plus menaçant. Il sa
procha d'elle, et avant même qu'elle ait eu le temps de réagir, il caressa doucement son bras.
murmura-t-il, ses yeux plongés dans les sie
devait se méfier de lui, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être attirée, de se sentir piégée
, il y avait quelque chose de plus sombre qui se pro
qu'il l'avait oubliée, qu'il avait trouvé quelqu'un d'autre à manipuler, quelq
ssage, mais qui en disait long. « Je sais ce que tu caches, Elvie. Et j
Mais les menaces d'un homme comme lui étaient réelles. Elle savait qu'il avait le pouvoir de détruire ce qu'elle avait reconstruit.