Alpha: Une paix à restaurer
antes sur le plafond de la tente. Il était allongé sur une couche de fo
er, mais une main
imbécile, murmur
ri
er sur son visage. Le vétéran était assis près de l
i y passer, c
ale. La bataille. Le sang. La doul
Son corps était encore meurtri, mais quelque
ien de temps
is jo
Son cœur rata
n pè
tourna l
emandé à
une autre question, la toile de
an e
t, insondable. Mais il y avait quelque chose de diffé
veillé, dit-il d
e reconnaissant, répondit Esser
rais êtr
frappa comm
roisa le
t que tu survivrais. Et pourtant, ton corps a guéri
ronça les
e que tu v
a légèrement, ba
r ce que tu es
g, de la sensation étrange lorsqu'il avait sombré dans l'inconscience.
as, murmura-t-
instant, puis fit
ejoins-moi dehors.
tente sans un
soup
s trois jours. Il dit que quel
de son
évisagea u
ette nuit-là. Mais je sais que tu es
, puis rassembla ses
amp était silencieux, encore marqué par les pertes de la bataille. Des regard
ur, debout près d'une table co
ieds-
obéit,
lencieux avant de prendre
que je ne t'ai jamais d
erig manqua u
uoi
xa droit dan
oi. Un lien que je t'
e sueur froide co
, souff
es yeux, comme s'il hésit
... est t
i suivit fut
ue son cœur al
imposs
té. Il est le f
acilla aut
ns la tente, projetant des ombres mouvantes sur les visages tendus d'Esserig et de son père. L'air ét
épè
onnaissable. Son regard fixé sur Keiran trahissait
a Keiran, la voix plus posée,
, luttant contre le tumu
é de me cacher ç
l observa son fils, comme s'il pesait l
un choix facile
ement, faisant grincer
t moi alors ?! Tu m'as laissé grandir e
sourcils, mais il ne perdit
ensonge, Esserig. C'é
ion contr
pesant s'
ntre
herchant à comprendre c
me dis p
esta imp
que tu n'es pas enco
une rage sourde
p de bataille, assez prêt pour risquer ma vie pour ce
esta sil
oua la tête
me priver de ça. Pas après
quitter la tente, mais la
pas morte comm
s'arrê
était ass
la tête, le cœur bat
uoi
son expression touj
ersonne ne sait ce
frisson glacé lui
Valdr
a cherchait
se dérober s
était morte, tombée au combat ou victime d'u
ui lui est arrivé ? demand
une fraction
l'ign
voyait bien q
ponses, un cri retentit à l'extérie
tendit imm
e que c'es
d et sortirent de la ten
êtements étaient en lambeaux, son visage couvert de boue et de sang séché. Deux guerriers le
nça-t-il en voyan
'homme. Il était jeune, pas plus vieux que lui, avec
re, poursuivit Jorik. Mais on l'a rep
roisa le
i travail
, un sourire ironique malg
à, répondit-il d
merger. Il avança et s'accroupit devant l
ik t'a
ussa un sou
ûr. Qui
gea un regar
qu'il voul
aussa les
Comme to
t en avant, un éclat é
ue Valdrik sait quelque chose que vous i
t son souffle
arl
ixa, puis sou
i devrais parler, jeu
tement la têt
glacial descendre le long
on père lui cac
es narines d'Esserig, mais il n'y prêtait guère attention. Il avançait d'un pas lourd, les pensées noyées dans un tourbillon d'incertitude. La nouvelle qu'il venait d'ap
l n'aurait cru qu'elles seraient vraies. Qui dans leu
la grande place centrale, où une foule se pressait autour d'une scène improvisée, construite à la hâte avec des planches de boi
ce qui allait se passer. Le traître serait jugé, exécuté pour son acte de
n d'armes depuis des années. Son visage, marqué par le temps et la
s côtés, Jorik, visiblement abattu, tenait la hache de ju
ne voix basse mais ferm
la tête, ses yeux fuyan
sa voix tremblante. Vous ne comprenez pas
ahir ses entrailles. Il s'approch
n d'une voix tranchante. Tu as agi pour ton p