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Alpha: Une paix à restaurer

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1715    |    Mis à jour : 12/02/2025

camp était presque aussi lourd que le regard que son père posait sur lui. Esserig se tenait droit, les épaules tendu

r, Esserig. Une erreur q

erig comme un coup de griffe invisible. Il avait grandi en respectant son père, en le vo

s su, qu'il n'avait pas réfléchi. Mais à quoi bon ? Les faits

olé, père, mu

instant avant de d

cuses que tu devras aff

eux. Certains guerriers se redressèrent instinctivement, prêts à agir, tandi

uvert depuis des années, fit remar

le voilà, rép

n, imposant immédia

vons nous

pour l'hésitation dans s

de lui. Il voulait se rendre utile, pro

battre, dit-il

a vers lui un

tu es prêt po

gard, même si son cœur

ça. Je dois y

nstant avant de hoche

ie être un guerrier. Mais tu

us anciens. Esserig serra les poings, mais ne pr

ésonna soudain

ostées à la lisière du camp, échangèrent u

er, annonça

essa, sa mâcho

s-le av

nut immédiatement l'odeur : un loup du clan de Valdrik. L'homme était grand, sa fourrure sombre luisant sou

avec un message, dit-

pesant s'

répondit Keiran

égèrement, un éclat

aité es

uffle se bloquer. Même s'il savait que ça allait arriver, l'entendr

te de guerre. Nos troupes se rassemblent. Dans trois

ne cill

ce qui vous

sourit de

To

a sur le camp. Esserig

rez rien, c

rna vers lui un

arles bien, mais sais-tu seulem

n posa une main sur son épaul

il d'une voix tranchante. Dis-l

la tête avant de faire demi-tou

it. Puis, Keiran prit un

le choix. Nous dev

ant des regards déterminés, d'autres semblant

était chargé d'électricité, lourd d'une tension presque palpable. Chaque membre du clan sentait l'inévitable approcher, comme une tempête qu'on ne peut fu

entant leur scepticisme peser sur lui. Il voulait prouver qu'il était prêt, qu'il pouvait réparer son erreur. Mais

orsqu'un hurlement retent

e figè

aient immédiatement, hurlant en retour pour alerter le reste du camp. En un instant, tous étai

n silence. Il n'eut pas besoin de donner d'

es combattants. Il repéra Jorik, un vétéran du clan

manda Esserig d'

ocha la

défenses. Une escarmouch

it ses muscl

-moi me

n instant avant de

s à moi de dé

par un bruit sourd : des pas lourds, nombreux, avançant rapidement à trav

riers de

s l'ombre des troncs avant de surgir en pleine

en une fractio

l'un sur l'autre dans un fr

i de douleur

vahir son corps. Il voulut avancer, mais

No

rouvant le regard

battre ! prot

repoussa s

t pas ton

dans la mêlée. Le sol tremblait sous les pas des combattants, le bruit du fer he

rapide comme l'éclair. Esserig vit le c

derrièr

it son flanc. D'un mouvement fluide, il pivota et planta sa propre arme

ings. Il pouvait aid

t de distraction de so

ouffle se coupa. Il n'avait jamais affronté un véritable guerrier en combat réel.

mi att

u vent lorsque la lame passa à quelques centimètr

iter totalement. La pointe effleura son bras, déchirant le ti

ns l'abdomen de son adversaire, le repoussant de quelqu

. Ce n'était pas un entraînem

on arme, prêt à lui p

ement r

ombre massive surgit et plaqua l'enne

orge de son adversaire. Le sang gicla sur le sol, et l'Alpha

onscient, g

lui laissa pas le temps de répondre. Il l'a

à et ne b

Il vit son père retourner dans la mêlée, abatta

ce qui sembla

ment qu'il avait com

ent en retraite, disparaissant

ba sur le cham

s, d'autres gémissant de douleur. L'odeur du s

, le regard erran

né cette premiè

rtrie par le combat. Le sang imprégnait encore le sol, les traces du premier affrontement n'ayant pas eu le temps de disparaître. Po

poque où les clans respectaient des lois plus anciennes que la haine. Ici, autrefois, les trai

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