Alpha: Une paix à restaurer
camp était presque aussi lourd que le regard que son père posait sur lui. Esserig se tenait droit, les épaules tendu
r, Esserig. Une erreur q
erig comme un coup de griffe invisible. Il avait grandi en respectant son père, en le vo
s su, qu'il n'avait pas réfléchi. Mais à quoi bon ? Les faits
olé, père, mu
instant avant de d
cuses que tu devras aff
eux. Certains guerriers se redressèrent instinctivement, prêts à agir, tandi
uvert depuis des années, fit remar
le voilà, rép
n, imposant immédia
vons nous
pour l'hésitation dans s
de lui. Il voulait se rendre utile, pro
battre, dit-il
a vers lui un
tu es prêt po
gard, même si son cœur
ça. Je dois y
nstant avant de hoche
ie être un guerrier. Mais tu
us anciens. Esserig serra les poings, mais ne pr
ésonna soudain
ostées à la lisière du camp, échangèrent u
er, annonça
essa, sa mâcho
s-le av
nut immédiatement l'odeur : un loup du clan de Valdrik. L'homme était grand, sa fourrure sombre luisant sou
avec un message, dit-
pesant s'
répondit Keiran
égèrement, un éclat
aité es
uffle se bloquer. Même s'il savait que ça allait arriver, l'entendr
te de guerre. Nos troupes se rassemblent. Dans trois
ne cill
ce qui vous
sourit de
To
a sur le camp. Esserig
rez rien, c
rna vers lui un
arles bien, mais sais-tu seulem
n posa une main sur son épaul
il d'une voix tranchante. Dis-l
la tête avant de faire demi-tou
it. Puis, Keiran prit un
le choix. Nous dev
ant des regards déterminés, d'autres semblant
était chargé d'électricité, lourd d'une tension presque palpable. Chaque membre du clan sentait l'inévitable approcher, comme une tempête qu'on ne peut fu
entant leur scepticisme peser sur lui. Il voulait prouver qu'il était prêt, qu'il pouvait réparer son erreur. Mais
orsqu'un hurlement retent
e figè
aient immédiatement, hurlant en retour pour alerter le reste du camp. En un instant, tous étai
n silence. Il n'eut pas besoin de donner d'
es combattants. Il repéra Jorik, un vétéran du clan
manda Esserig d'
ocha la
défenses. Une escarmouch
it ses muscl
-moi me
n instant avant de
s à moi de dé
par un bruit sourd : des pas lourds, nombreux, avançant rapidement à trav
riers de
s l'ombre des troncs avant de surgir en pleine
en une fractio
l'un sur l'autre dans un fr
i de douleur
vahir son corps. Il voulut avancer, mais
No
rouvant le regard
battre ! prot
repoussa s
t pas ton
dans la mêlée. Le sol tremblait sous les pas des combattants, le bruit du fer he
rapide comme l'éclair. Esserig vit le c
derrièr
it son flanc. D'un mouvement fluide, il pivota et planta sa propre arme
ings. Il pouvait aid
t de distraction de so
ouffle se coupa. Il n'avait jamais affronté un véritable guerrier en combat réel.
mi att
u vent lorsque la lame passa à quelques centimètr
iter totalement. La pointe effleura son bras, déchirant le ti
ns l'abdomen de son adversaire, le repoussant de quelqu
. Ce n'était pas un entraînem
on arme, prêt à lui p
ement r
ombre massive surgit et plaqua l'enne
pè
orge de son adversaire. Le sang gicla sur le sol, et l'Alpha
onscient, g
lui laissa pas le temps de répondre. Il l'a
à et ne b
Il vit son père retourner dans la mêlée, abatta
ce qui sembla
ment qu'il avait com
ent en retraite, disparaissant
ba sur le cham
s, d'autres gémissant de douleur. L'odeur du s
, le regard erran
né cette premiè
rtrie par le combat. Le sang imprégnait encore le sol, les traces du premier affrontement n'ayant pas eu le temps de disparaître. Po
poque où les clans respectaient des lois plus anciennes que la haine. Ici, autrefois, les trai