Alpha: Une paix à restaurer
, les épaules raides sous le poids des regards qu'on lui lançait. Il savait que sa place ici était contestée. Certain
naçante qu'une tempête qui couve. Le chef du clan rival avançait avec une assurance absolue, son regard dur fixé
alla lorsque les deux g
lara Keiran d'une voix ferme. Évit
un sourire
e ta bouche, alors que c'est ton f
avant que l'un d'eux, un vieillard aux cheveux
un peuple, Valdrik. Tu sais comme moi que les
Ton héritier a levé la main sur moi ! Sur moi, un
is voulu cela. Il n'avait pas su qui était Valdrik, il
qui tu étais, lan
se ton geste ?
avertissement silencieux de ne pas répondre. Il
a justice, Valdrik. Tu
évidente pour tous : l'attaque d'Esserig n'était qu'un catal
n de Valdrik, la voix tremblante mais résolue. La q
Valdrik en croisant les b
essa légèrement, son regard deve
je ne livrerai
un éclat cruel
n'y aura pa
de conséquences. Certains semblaient hési
tre solution, tenta un a
. Ton fils a signé la fin du trait
ue muscle de son corps tendu
rre, Valdrik, sache que
ers, répondit l'Alpha du c
ot de plus, ils quittèrent la clairière, leurs s
s qu'un souvenir, Esserig sentit
ffla l'un des anc
en guerre, con
x un long moment avant de po
puis l'annonce de la guerre, tout le monde s'activait sans relâche. Les guerriers préparaient leurs armes, les sentinelles renfor
sa voix ferme et implacable. Il connaissait son ennemi. Il savait q
ord et doublez les guetteurs, ordonna-t-i
aque de l'ouest ? d
s bras, réfléchi
s vulnérables. Il faut lui faire croire
t la précision avec laquelle il préparait chaque mouvement, la manière don
it aucun rôle
ptait bien
à renforcer son endurance, à apprendre les tactiques des anciens guerriers. Il voulait
le vétéran qui l'avait toujo
nna Jorik en l
choc lui fit reculer de plusieurs pas. Il grog
ent et le désarma d'un
s trop, gamin
s dents en récup
ux bien
n instant avant de
La guerre ne te laisser
erra sa pris
nco
ule sur son front et que ses muscles brûlent
du jour disparaissaient derrière la cime de
nt. Ce n'était pas un cri ordin
centre du camp,
-t-il d'une vo
reur. Une de nos patrouille
it son cœur
vec vous, dé
accorda même p
No
battre ! prot
nstant, puis posa en
aleur ? Alors écoute m
mais il savait qu'argumenter ne servir
rtir sans lui, son cœur battant
chose ne tour
. Valdrik n'était pas du genre à te
n frisson lui pa
ciel, éclatante et impitoyable, baignant la forêt d'une lueur fantomatique. C'éta
Il pouvait sentir l'odeur de la peur et de l'adrénaline autour de lui. L'air vibrait sous l
Un silence trop lo
lement déch
er se dé
que le premier cri d'alarme ne soit terminé, les ennemis étaient sur eux.
ara un premier coup, sentit la force brute de son adversaire vibrer à travers sa lame
ents de rage et de douleur se mélangeaient aux râles des mourants. La te
étéran se défendait avec l'expérience des anciens guerri
llait f
vement désespéré. La lame trancha dans la chair, arrêtant l'attaque à
na vers Esser
ois une v
pas le temps
gurante explosa
enfoncée dans son côté, le sang
ffle se
un regard satisfait avant d'être lui
ig va
orma en un bourdonnement lointain. Il tomba
ue son propre souffle
it mour
ur qu
le sol, amis et ennemis mêlés dans la mort. Il vit un jeune guerr
n'avait au
ver, une voix l'appeler, ma
eur, incapable de savoir s'il était encore en vie ou déjà passé de l'autre côté. Puis, lentement, une sensation é
rit le