Le dernier Alpha
ble du salon, projetant des ombres dansantes sur les murs fissurés. Ivy était assise dans un fauteuil usé, les genoux repliés sous elle, un des vieux journaux intimes de Caleb ouvert sur ses
s jaunies par le temps. Chaque phrase semblait porter un poids immense, une vérité qu'il n'avait jamais osé partager de
ntrées. *"Pas seulement pour ceux qui y vivent, mais pour quelqu
saisir toute la portée. Le ton de Caleb était marqué par une peur pal
voyant le nom de cet homme énigmatique qui semblait savoir bien plus qu'il ne disait. *"Il m'a parlé de la malédiction des Bl
plus absurde, mais en même temps, tout semblait se mettre en place. Ses doigts effleurèrent les mots griffonnés à
descriptions de rituels, des mentions cryptiques de "l'ancienne meute" et des notes
tuaire des ombres. C'est là que tout a
mme s'ils détenaient un pouvoir particulier. Qu'est-ce que c'é
fit sursauter. Elle posa le journal sur
nda-t-elle, sa voix réson
tourna vers l'entrée, où une silhouet
uiller dans le passé," dit une vo
la silhouette qui s'approchait lentement. Selene était vêtue d'une robe sombre q
?" demanda Ivy, tentan
rtes ne sont pas vraiment un obsta
Ivy croisa les bras, essay
Une menace pour tout ce que nous avons construit ici. Les humains et les loups vi
x plus ferme qu'elle ne s'y attendait. "Je veux
en avançant encore d'un pas. "Tu fouilles là où tu ne d
pas celui de Selene. "Si tu crois que je vais partir
ider ? Oh non, Ivy. Ce n'est pas une menace. C'est un a
e éclatant enfin. "Arrête de parler par é
e ne le pensais. Mais ce n'est pas moi qui te donnerai les réponses que tu cherches. Je te conseille simplem
lons et disparut dans l'ombre aussi
-
le sommeil. Les mots de Selene tournaient en boucle dans son esprit, mais ce qui la
n une queue de cheval et glissa une lampe torche dans son sac. Elle savait qu'
es nuages lourds. Le journal de Caleb en main, elle suivit l
ortes et les racines qui s'enchevêtraient. Plus elle avançait, plus l'air semblait
s spectres figés. Chaque craquement de branche, chaque bruissement de feuilles la faisait sursauter.
s disposées en cercle. Au centre, un autel de pierre couvert de symbole
mblaient raconter une histoire, mais elle ne pouvait pas en déchiffrer la signification. E
re elle. Ivy se retourna brusquement,
-t-elle, sa voix se
tait Zeke, mais son expression était d
û venir ici," dit-
oit ?" demanda-t-elle, sa voix emplie d
-il, ses yeux brillant d'une lueur ét
estions, un hurlement perça l'air, glacan
s. Les notes de Caleb, soigneusement repliées dans la poche intérieure de mon manteau, me guidaient comme un fil d'Ariane à travers cette obscurité inti
tes. Même les oiseaux semblaient avoir déserté cet endroit. Plus j'avançais, plus je
de déjà-vu mêlée à un malaise viscéral. J'avais l'impression d'être connectée à ces bois d'un
de. Les pierres anciennes, couvertes de mousse et de gravures mystérieuses, formaient un cercle brisé autour d'un autel central. L'autel étai
iait de partir, mais quelque chose de plus profond, une curiosité presque compulsive, me po
vague d'énergie me traversa. Un éclair blanc déchira
lune éclatante. Leurs hurlements résonnaient dans mon crâne comme un chant ancien et sauvage. Je vis un homme, plus grand et plus sombre que
mais ma voix se per