L'héritier de la mafia
ion. Ses poings se serrèrent sur les accoudoirs du fauteuil en cuir, et elle inspira profondément, tentant de calmer les battements fré
te extérieure, malgré son attitude évasive la dernière fois. Elle hésita avant de composer son numéro, son pouce flo
x tremblante d'Alexe
répondit-elle rapidement. Pas
silence avant q
s, Irina. C'est
e d'émotion. Tu vas juste rester là à te cacher pen
ement la réponse d'Alexeï. Ell
i, Irina. Oublie-moi, dit-il enfin, sa voix à
e son téléphone, envahie par un mélange de colère et d'impuissance
*
présence imposante remplissait l'espace exigu de l'appartement. Il portait une chemise n
sans appel. Ce soir, il y a u
a un sourci
tion ? Tu p
avocat influent qui travaille pour le cartel. Ils y discuteront probablement
ement, croisant l
ion pleine de criminels, alors que je n'ai
s épaules avec un
pour improviser. Et pui
ar qui ? Toi ?
dit-il sérieusement. Ma
comme une pièce sur un échiquier. Pourtant, elle savait qu'elle n'avait pas le ch
*
e reflétaient dans les larges baies vitrées, offrant une vue imprenable sur les gratte-ciels illuminés. Irina, vêtue d'une robe élégante que Lor
na repéra rapidement Victor, qui, comme à son habitude, se tenait au centre d'un petit groupe, ses ge
r occuper ses mains tremblantes. Elle jeta un coup d'œil discret autour d'elle, essayant
vous voir ici, dit une
r. Ses lèvres fines s'étiraient en un sourire, mais s
c un sourire poli. Je ne sa
inant légèrement la tête. J'aura
vers une petite
merais discuter de cert
ler ses soupçons. Elle le suivit jusqu'à la table, où il lui tendit un v
ossant à sa chaise. Comment tr
emment. Les dossiers sont complex
perça le sien, comme s'il che
e ne rien cacher ? de
érer. Elle fronça les sourcil
poser une te
rire, un rire fro
grave. Juste
cha de Victor et murmura quelque chose à son oreil
enter un instan
tête pour suivre son mouvement et remarqua qu'il se dirigeait vers un petit salon fermé. La cu
ère laquelle elle entendit des voix. Elle r
us ne réglons pas ça rapidement, t
ix, plus gra
. Certains de vos nouveaux collègues
t peut-être d'elle. Elle recula lentement, s'efforçant de
ibra dans son sac. Elle le sortit discrètement et lut le mess
ers la sortie, son esprit en alerte. Quelque chose
nt du tabac brisé par la flamme d'un briquet résonnait doucement dans la pièce sombre. Lorsqu'elle franchit la porte, essouf
mort ou quoi ? souffla-t-elle en
bouffée de fumée avant d'écraser la cigarette à moit
tendu ? demanda-t-il en
on sac sur une chaise et s'assit en face de lui. Les mots lui
n traître parmi eux. Et... ils semblaient aussi
d s'assombrissant. Il croisa les bras,
asard, dit-il enfin, plus
ur moi ? lança Irina, la pa
l. Il marcha jusqu'à la fenêtre, écartant légèrement les
it-il. Mais il y
er, ses traits durcis par
Ma
ils, ne comprenant pas
manda-t-elle, incrédule. Il e
p longtemps. Assez pour connaître tous mes secrets.
er chaque mot dans cette conversation. Toute insinuation mal
u crois qu'il pourrait
aucune possibilité, rép
à elle, et son reg
cacher quoi que ce soit, continua-t-il. Si
pens, mais elle n'avait pa
fermeté qu'elle ne s'en sentait capable. Mais toi
si elle avait osé franchir une limite qu'il avait imposée. Mais avant qu'il ne puisse répondre, elle se lev