L'héritier de la mafia
lorsqu'elle entendit un nouveau message vibrer sur le téléphone que Lorenzo lui avait
Je passe vous c
rmalités. Irina relut les mots, un poids s'installant un peu plus sur sa poitrine. T
elle prit soin de choisir une tenue qui reflétait un certain professionnalisme, sans être trop tape-à-l'œil : un bl
nt vêtu comme toujours. Elle remarqua les détails : la coupe ajustée de son costume, la mont
plement, sans quitte
nt nerveusement s
emanda-t-elle, brisa
enzo. Un contact du cartel avec lequel nou
dait l'idée de "confi
ne suis pas une criminelle, murmura-t
tête vers elle,
ous êtes parfaite. Vous n'êtes pa
a dans l'habitacle com
-
désert à première vue, mais Irina remarqua les détails : des silhouettes postées à
Lorenzo en lui ouvrant la port
e, son cœur batta
et d'une odeur de métal et de poussière. Trois hommes attendaient au centre, au
t-il en guise
it Lorenzo avec
le regard des deux hommes r
da Dmitri, pointa
nzo. Vous n'avez pas besoin d
s regards sur elle, mais
zo semblait parfaitement à l'aise, maîtrisant chaque mot et chaque geste. Irina,
ula en un
brusquement, un sourire
, murmura-t-il, presque am
ement. Dmitri se leva, jetant
personne ne te reconn
mais Irina vit sa mâchoire
malentendu, tenta Lore
n. Le nouvel arrivant sortit une arm
-
eta au sol instinctivement, son souffle court, les oreilles bourdonnantes.
cision effrayante. Il attrapa Irina par le
son ton plus tranchant qu'e
tête, incapa
s. Le cœur d'Irina battait si fort qu'elle craignait qu'il n'explose. Elle
omme un prédateur. C'était une autre facette de lui, bien différen
la une éternité,
on costume légèrement frois
, tendant une main pou
des gens, balbutia-t-elle, incapa
ait, nous serions morts. Mainten
hoc. Tout son corps tremblait, et
-
urd. Lorenzo conduisait d'un air dét
nt ? demanda-t-elle final
sourcil, un s
c'est une habitu
serrant ses mains pour es
a, murmura-t-elle. Je ne
uite. Lorsqu'il parla enfin, son
e vous prenez maintenant est une question de vie ou d
rit comme un coup de marteau. Il ava
murmura-t-elle, l
ndit-il calmement. La hai
la route devant elle, incapable de se défaire de
it, une petite voix lui murmurait qu'elle n'était
its tendus, la mâchoire crispée. Elle n'aurait su dire ce qui l'inquiétait le plus : le calme inquiétant qui s'é
n mot. L'endroit était étrange : une demeure imposante, presque hors du temps, entourée d'un jardin soigne
il simplement en so
meubles anciens, des tableaux accrochés aux murs, et une bibliothèque immense dont les étagères croulaient
nda-t-elle, la curiosité pren
ste, révélant une chemise légèrement froissée
gé, plus grave, presque doux
fam
r vers un fauteuil en cuir usé. Il s'assit et
? dit-il enfin, sa voix teintée d'un sarcasme amer. Le cartel qu
parlait rarement de lui, et chaque mot se
? murmura-t-elle, incapabl
sant une main d
ssocié de confiance", comme ils aiment dire. Mais
se, sentant qu'il ava
nt ma mère, ma sœur e
Irina n'osait plus bouger, hyp
re tomber. Pas pour l'argent, pas pour le pouvoi
comme si rester assis
rs elle, qu'est-ce qui te motive, Irina
rt. Elle ouvrit la bouche,
ur moi, finit-elle par dire. J
ais ses yeux semblaient