L'héritier de la mafia

e. Mais il savait que l'organisation de Ramirez se rapprochait dangereusement de leurs secrets. Ils devai

tie de l'équation que Lorenzo ne pouvait pas ignorer. Depuis le dîner à la villa de leur père, elle avait gardé ses distances. Il avait ent

t évité son regard, préférant des réponses vague, ou aucun, selon son humeur.

s, Lorenzo, avait-elle

du, mais il savait que cela ne serait jam

choisis, mais leur ordre semblait plus dicté par un besoin de paraître que par un réel confort. Irina s'installait sur un canapé, tournant lentement un verre entre ses doigts

aiment, demanda-t-il enfin, le t

s lui, la question acc

choses, Lorenzo ? Pourq

'approcha d'elle, se penchant légèremen

tendre, dit-il d'une voix douce. Si je te dis tout, tu pou

-t-elle, sa voix tremblante. Ils savaient que j

raction de seconde avant de repren

ir ta mission sans te douter qu'ils

est ça ? demanda-t-elle, le

un pion, Ir

que tu veux

rouver dans le regard de l'autre une réponse à leurs questions

, dit-il enfin. La nuit est encore j

it quelque chose de lourd et d'oppressant. La brume se dissipait lentement a

d dans la soirée, sa voix était

là, Irina. Toujour

, sentant un frisson d'in

anda-t-elle d'

e. Je ne sais pas quoi, mais il y a

e inspiration, essaya

quoi tu m

he de ce qui se passe, répl

ourquoi tu

ta avant d

surveiller. Il y a d'autres plans en jeu, Irina. D'

partie de c

r que je ne me retrouve pas p

ite. La lueur de la vérité commença

'as-tu pas tout

r, répondit Carla, sa voix tremblante. Mais si

it exactement. Pourquoi ne pas lui dire où se trouvait Nikita ? Pourquoi cet

rochée à son mur. Son frère, souriant, insouciant, bien avant que le ca

erai pas tomber,

hone l'interrompit. U

z toi ce soir. Quel

. Lorenzo n'avait pas besoin de la protéger. Elle

son esprit, elle savait qu'elle ne pourrait pas rester loin de la vérité plus longtemps. Si Carla avait raison, alors tout ce

lait qu'elle sache la vérité. Si elle devait trahi

prévu. Son cœur était lourd, son esprit ailleurs. Elle se faufila dans le bâtiment, ses pas sonnan

ards in

ête pour la confrontation qui l'attendait. Lorenzo l'attendait

ir faire ça ? demanda

la tête, sa

orenzo. Je dois sav

eau. Lorenzo ferma la porte derrière eux,

lentement. Assez de mensong

d'un pas,

il est. Où

enzo sembla hésiter un instant, comme s'il allai

le dire, murmura-t-i

a, la faisant trembler

toujours là à essayer de me pr

ande inspiration, s

que tu as trouvé dans les dossiers, ça pourrait t

. Dis-moi ce qu

oings, la regardant

er, Irina. C'est tout

a salive, la

Lorenzo. Dis-moi

du dans ses pensées. Puis, lentement, Lorenzo pos

age plus tard, dit-il e

de la pièce, laissant Irina seu

tait pas encore fini, que l'histoire qu'elle avait découvert était loin d'être terminée. Ce n'était qu'un