L'héritier de la mafia
s que le juge, un homme aux lunettes épaisses et au visage sévère, épluchait calmement les documents devant lui. Irina Novikova se tenait droite à la barre, son taill
ns tremblaient légèrement alors qu'elle agrippait un mouchoir en papier chiffonné. Ses joues creusées témoi
gorge, le regard
riminelle. Elle est une mère. Une femme désespérée qui a pri
alle, son ton contrôlé, presque glacia
oîte de lait en poudre. Rien d'autre. Pas de bijoux,
maigre et au visage anguleux, fronça les sourcils mais
suivante : devons-nous punir une femme qui tente simplement de sub
s yeux embués de larmes. Irina n'avait pas besoi
ir profond avant de
ne dispense de peine. Toutefois, Madame Petrenko, assur
le visage de Sofia, tandis qu'I
d'Irina avec une gratitude palpable. Vous n'imagi
mille fois. Ce n'était pas la reconnaissance qu'elle recherchait, mais la justice, ou d
-
t par intermittence, renforçant l'ambiance morose du lieu. Elle attrapa une tasse de café froid, son esprit encore ab
kita s'afficher. Cela faisait des mois qu'ils n'avaie
une voix ferme, à quo
ix un peu rauque, marquée par la fatigue ou peut-
le bord de son bure
que je sens que ça
l'autre bout de la lig
'accord ? J'ai juste besoin de quoi
it la colè
es mois, tu ignores mes messages, et maintena
protesta-t-il. Je vais rembourse
e ça, oscillant entre promesses vides et excuses pathétiques. Mais malgré t
lle finalement, sa voix
dit-il après une
u plaisante
s'il te
z, cherchant à calmer la fru
par dire. Mais c'est la dernière fois, Nikita. J
avant que la ligne ne
-
conversation avec Nikita lui laissait un goût amer, un mélange de culpabilité et de méfiance. Elle monta le
ité. Elle alluma la lampe du salon et posa son sac sur le canapé. Mais alo
glissée sous la porte
'y avait ni adresse, ni nom. Juste un pli net et anonyme. Ell
orceau de papier portait u
est dû ou il paiera. V
autour du papier. Ses pen
u'elle relisait les mots encore et encore, cher
si prononcer son nom à voix ha
tait en grand danger. Et, comme toujour