L'héritier de la mafia
obsédé par un document qu'elle avait découvert la veille. Parmi des dossiers anodins que Victor lui avait assignés, elle était tombée sur un fichier numérique crypté. Après des heures passée
res. Mais dans les bonnes, il pourrait mettre à genoux les adversaires de Lorenzo. Et pourtant, alors qu'ell
ssant ainsi, elle s'enfonçait davantage dans cette toile d'
tout autre genre. Antonio Santoro, son père, trônait dans son fauteuil de cuir comme un roi sur son trône
e, Lorenzo, lâcha Ant
resta impassible, mais sa
us contrôle,
rce que ce que je vois, ce sont des failles dans ton organisation.
coupa Lorenzo, sa voix plus
il, un sourire narquois
s attaché à elle. C
n s'approchant. Irina est un outil. Et comme tous l
tement, réduisant l
ois te rappeler une chose : les outils se brisent
ar l'arrivée de Carla. Elle entra sans frapp
père-fils, dit-elle d'un ton sarca
vers elle, un re
i enc
uelqu'un l
passé la matinée à travailler, tentant de paraître concentrée alors que son esprit était en alerte. V
sion d'être suivie. Une silhouette semblait toujours se trouver à quelques mètres derrière
tant à tout rompre. Peut-être que
lle vérifia son téléphone
uelqu'un te suit. J
tait au courant, cela signifiait que la situatio
tion. Il savait que cette tentative d'intimidation n'ét
a les environs. Un homme louche stationnait près de l'entrée, une cigarette à l
mbres pour se dissimuler. L'homme ne le vit pas venir. En une fract
nvoie ? c
de se libérer, mais Lore
pas me répond
enzo le frappa à l'estomac, le l
l'homme. C'est Ramirez. Il
fée de rage monter en l
légèrement l'homme. Si quelqu'un touche à un s
alme. Mais lorsque Lorenzo entra brusquement dans son
? murmura-t-elle, jetant un
it-il en fermant la
es bras, défi
e, Lorenzo. E
ui m'inquiète, l'interr
à l'évocatio
Qu
dit Lorenzo en baissant le ton. Et il ne s'arrê
frisson parcou
comment est
nt. Ce qui compte, c'e
dans le couloir. Lorenzo réagit immédiatement, at
rière moi,
renzo, toujours sur ses gardes, dégaina son arme et tira sans hés
peur, regarda le corps
x dire ? murmura Lorenz
tête, incapa
ant, on d
gards indiscrets. Mais au fond d'elle, Irina savait que ce n'était que le début. Les
rès l'incident au cabinet. La ville s'étalait devant elle, étouffée par une brume épaisse et glaciale. À travers les fenêtres, elle voyait les lumières de la ville
er son esprit, de préférence autre chose que des souvenirs de Nikita et des menaces qui planaient sur elle. Cela faisait des jou
re
dans la journée. Son visage était fermé, déterminé, mais il y avait quelque
es l'avaient utilisée comme appât, il avait nié. Sa réponse était rapide,
ina, avait-il dit, se rapprochant d'elle avec une sincér
ses yeux, les éclats de peur qu'il tentait de ma
ges, pourquoi il
tenu de soupirer,
prévu. Je n'ai
bras, défiant son regard. Alors,
Lorenzo avait baissé les yeux avant de
douter. Parce que, peut-êt