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Emeline, autopsie d'une obsession

Emeline, autopsie d'une obsession

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Chapitre 1 La sirène et le pâtissier

Nombre de mots : 1655    |    Mis à jour : 18/12/2024

oisés ? Attendez que je me souvienne... Mai, p

maines. La forge et l'Aérion faisaient – et font toujours partie– de nos meilleurs clients. Leur demander de venir chercher eux-mêmes leurs pâtisse

u Domaine de la Forge, m'a demandé si les livraisons étaient toujours d'actua

remarque acerbe de Renan

dédouana-t-il, en par

u d'une chemise paré du logo de mon entreprise. Dans le module réfrigéré, les trois

érion fut expédiée

s au domaine de la Forge. La grille d'entrée, une véritable pièc

tasier sur les lieux. D'ordinaire, ce genre de fioritures me laissent froid, mais

mémoriser le nom des mariés avant de rencontrer mon client offici

ouligna une voix malicieuse dans

u téléphone tenait plus de la femme d'âge mur que d'une de mon âge. Mais pas du tout. De ma génération, adorable, plantureuse, des yeux si bleus, cette jeune femme n'avait rien à voir. Afin de ne pas passer pour un rustre en la f

t que d'un sou

art, annonçai-je

oliment puis ar

Delmart-Freillac se déplace en pe

et m'intéresser à ce qu'elle prenait le temps de me montrer, je luttais contre moi-même. Tandis qu'elle me précédait, je n'avais d'yeux que pour ses fesses charnues, qui se balançaient en cadence devant moi. J'imaginais deux brioches ronde

préférés des marié

ent ces images de moi, saisissant ses fesses pour

lles mourraient quelques années plus tard, mais non, elles se sont r

défendus que juteux dont chaque mouvement était un appel à mes envies les plus primaires. Je les refreinai autant que possible, effaré de pouvoir ressentir cela alors que j'étais marié. Ce n'

r concept, Emeline me montra tout ce que je devais connaître

r place, m'avait alors déjà tout détaillé. Le manoir luxueux pouvant accueillir des mariages jusqu'à trois cent personnes et nous, qui fourniss

puis nous mena dans son burea

ment, suffit pour me dévoiler le galbe de ses seins, dé

r ce qui m'arrivait. Je n'avais commis aucune faute et pourtant, je ne

lus, peut-être même en parler à quelqu'un, mai

lu à cette

er ces images sensuelles et moins j'y arrivais. Mes pensées me ramenaient à cette femme que, sans Line dans ma vie

n désir. Dans ces scénarii que mon esprit m'assenait, il n'était question d'aucun amour, mais de corps à corps bestiaux, de sexe effréné et spo

paroles, je ne m'en rend

'enfonçant toujours plus profondément en elle, la saisissant avec fermeté. Ma raison savait que L

me jouait des tours, de façon très furtive je l'apercevais : d'un coup, ce n'était plus Line que je baisais si fort, mais l'avatar de la sirène de la Forge. J'endiguai ma sensation de perte de contrôle, ou peut-être ma culpabilité, en

oyer Renan pour qu'il me re

e tachais de rester l'homme que je voulais être. La saison des mariages battant son p

ement sain. Adulte. Je me le devais

, cherchant dans la moindre mimique quelque chose qui trahirait chez lui un trouble en tout p

ombé et j'aurai pu vivre cett

cette pièce aujourd'hui... ou peut-être

inelli ? lui ai-je demandé, d

ature, et là, elle est en congé. En

échappée. Cette petite salope était mariée. À fixer son corps en quelques endroits, j'en avais oub

ne frontière supplémentaire. Un mur érigé entre nou

qu'il en était incapable de voir la réalité : elle n'était en aucun cas responsable de l'attirance que je ressentais pour elle. Esclave de mon sexe, ap

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