Emeline, autopsie d'une obsession
ion nouvelle, j'ai pu rep
s moments calmes. Aller au sport ensemble. Retrouver
ocher à ça et en profiter, malgré tout, il m'arrivait parfois d'avoir des pensées pour Emelin
e piqûre de rappel pour s'assurer que j'avais toujou
bon petit virus, de quoi le coucher presque une semaine. Heureusement, nos employés ont répondu à
l'équipe au taquet et moi, qui n'avait pas dormi plus
x traditionnels lapins, poules et cloches s'ajoutèrent les cœurs souriants, les chats et les cabosses magiques. La sculpture de Renan,
vité avant une période un peu plus calme. Mais pour l'heure, j'en avais d
pu venir non plus. I
chement de tête et d'un sourire. Que voulait-elle que ça me fasse ? C'et
va livrer l'Aérion
omniprésente, dans ma tête. Je ne me figeais pas seulement pour un problème de logistique, mais parce que mon
s employés, sur le pied de guerre depuis une heure du matin, de livrer en début d'après-mi
mande si ça n'était pas
donc la r
Marti
er à elle, j'entendais un bruit, un souffle discret, celui que j'imaginais échapper de ses lèvres dans une extase contenue. L'interdit avait un son que je refusais d'entendre à nouvea
oyais, qu'est-ce
elle, que j'avais côtoyée quelq
rlé à personne.
uisais à la salle de sport, suant pour extirper cette
Pour elle, je m'évertuais à rester l'homme qu
n cœur se mettait à dérailler et que mon corps somatisait. Un
atinée, un compte à rebours dans la tête, égrenant ces minutes