Les enfants oublié
u
eur. Mais le sournois lui faisait en même temps un massage dans le bas du dos, ce qui la faisait frissonner. Jul
l'avait mise sur le côté, et était pa
outeurs vissés dans les oreilles. Il avait du sucre plein
llait dans un restaurant qui en réalité lui appartenait
heures à onze heures trente, il faisait la
pel était pour Jules. Le barman ayant pour ordre de ne pas déranger Jules, avan
i rapide ni vigilante. Elle avait failli s'ébouillanter avec une petite casserole remplie d'eau avant que Jules ne la pousse et ne reçoive l'eau bouillante en plein visage. Quelques minutes plus tard, Cassie
mais leur nombre se multipliait environ toutes les cinq secondes. C'est pendant qu'il mangeait, juste après être coupé l'intérieur de la main avec son couteau, qu'il avait eu un déclic, Il repensa à sa journée, son apprentie étrangement minable, l'eau bouillante sur son visage, sa meuf qui pète un câble, et maintenant des rats qui l'observaient comme s'ils comptaient s'en prendre à lui. Il commençai
enroulé sa main dans un torchon, et avait fermé son restaurant. Il était rentré chez lui en essayant d'appeler Cass
es en versant de l'alcool à 90° dans la paume de sa main, puis mis de l'éosine, pour désinfecter la plaie avant de se faire un bandage de fortune. Jules se sentait
e à cause de ce qu'il inhalait. Sa main baignait dans l'eau, son bandage se desserrait, et des sels pénétraient sa blessure. Cela lui avait, au début, provoqué un mal atroce. Puis la douleur l'avait p
ul
rt
'eut aucun mal à la croire, et pensait savoir quoi faire ; il avait peut-être une idée qui pouvait tout arrêter. Depuis l'histoire de la banque il pensait avoir trouvé une solution, il se disait qu'il pouvait inverser la malchance. Le Paulin croyait avoir la force pour contrôler la poisse, et ainsi inverser
ngtaine de minutes au cyber Starbuck, il avait fait une liste d'articles
it vite redescendue du véhicule, craignant une explosion ou quelque chose du genre. Elle était très stressée et à l'affût du mo
, un masque à gaz, des lacrymogènes, douze litres d'eau minérale, plusieurs bidons d'essence et les clefs d'une nouvelle voiture. Le Paulin avait vidé les bouteilles d
aire seul. Ce n'était pas pour se la péter ni pour jouer au héros, mais il estimait e
n'était pas évident avec une jambe, mais il avait réussi à aller j
n lui avait apporté. Une fois à l'intérieur il attendrait le moment propice pour mettre son masque à gaz et sortir de son sac toutes ses bombes lacrymogènes. En trois m
uront très vite le localiser. Ils seront une quinzaine à se précipiter dans sa direction, avec des foulards aux visages, et des battes de base-ball ou des pelles dans les mains. Le Paulin les regardera, le cœur battant très fort dans sa poitrine. Il les