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Les enfants oublié

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1351    |    Mis à jour : 17/09/2021

ul

rt

n mal à faire valoir ses droits de handicapé ; tout le monde avait pitié de lui et on l’avait laissé passer pour qu’il soit dirigé, le plus vite possible, auprès d’un conseiller. Avec sa jambe coupée, et son pansement qui suintait, il avait l’air d’un tsigane

serrant la partie de sa mâchoir

t car il en était sentimentalement proche. Il avait l’air d’un clochard qui se serait perdu ; son blue-jeans était coupé à la jambe droite et son pied gauche était toujours chaussé de sa tong brésilienne. JFK l’avait tout de même fouillé, il avait trouvé le chèque, ainsi que plusieurs tubes de Vicodine. Le braqueur s’était ensuite réfugié dans les toilettes réservées au personnel pour se défoncer, tandis que les autres dévalisaient le coffre et avaient séparé les otages en trois groupes, chacun dans un des bure

er à la courte paille pour décider lequel des otages allait mourir en premier. Le plan était de trafiquer les pailles pour que le Paulin récupère la plus petite, ma

restaient plus que cinq balles, et il avait décidé de faire une roulette Russe. Il avait installé Paulin au bureau. Face

s on en rajoutera une supplémentaire à chaque to

us aucune munition, ces abrutis les avai

auteuil roulant,

ui avait pris l’arme, en tremblant de la tête aux pied

son, y a qu’une bastos à l’in

telettes de sang flottèrent pour

ait dit la tête d

était installée à la, symboli

lorsqu’il avait vu cette grand-mère, les mains collées au v

lui faire ça, elle ne

ait levée, elle avait arrêté de pleurer et tout le mond

ir mes petits-

i

en la regardant droit dans les yeux

amie, à to

sur la gauche, l’œil gauche fermé, et ayant perdu tout sens moral le Paulin n’avait

it ordonné de pointer l’arme sur Paulin, et non sur lui-même. Il avait tendu le bras pour approcher le pistolet le plus près possible du visage de Paulin. L’atmosphère était bourrée d’électricité statique, et le Paulin sentait qu’il allait mouri

i

é, mais l’homme avait

i

ey. La dernière balle était pour Abraham Lincoln, mais quand il avait voulu lui tirer dessus ; rien n’était sorti du canon. L’homme au masque de président se dirigeait vers Paulin, pendant que ce dernier continuait d’appuyer sur la gâchette, espérant encore avoir une chance

pour entrer dans les locaux avant que l’un des suspects ne leur soit servi sur un plateau. Et comme souvent à Paper Street, il y eut une bavure. Après avoir récupéré son chèque (sur l’un des braqueurs), le Paulin était sorti de la banque tou

ortant un costume aussi minable que le précédent, était venu lui remettre un chè

e, elle était hystérique et voulait l’emmener à l’appartement. Avec

uiv

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