Les enfants oublié
ire de De
is
ol
là, une forte douleur lui martelait les tempe
aves inclus. Quelques instants après son réveil, l'un d'eux était entré dans sa chambre ave
vide, celui-ci demanda à son sujet d
n. Elle portait une toilette des plus aguichantes et son visage était rouge, comme si le froid avait frappé sa peau. Sa généreuse, bien qu'artificielle, poitrine, gonflée par son corset, était légèrement en sueur. Maître Julian ne pouvait s'empêcher
collée à lui et lui agrippait la verge e
Il criait, lui mettait des gifles mais cela ne changeait rien, elle continuait de l'asticoter. Lorsqu'elle avait ouvert les yeux, Julian avait baiss
é à sa sœur, quand, subitement, une chose le frappa ; il n'avait plus de migraine. Ses
in, maître Julian n'en avait plus voulu, il avait exigé que son val
es, la journée pouva
aire d'exceptionnel de sa journée. Le maître était l'héritier d'une riche famille, dont le père était considéré comme l'
nt survenu dans l'une des mines secrètes de Pedy Coober. Et pour cause, il était malade ce jour-là, et, étant le dernier mineur en vie, il avait décidé de
e le faisait tomber dans la fainéantise. Il passait ses journées dans des clubs pr
ne pouvaient pas savoir pourquoi chaque matin de
e diable, mais rien à faire, il n'y parvenait pas. Il était resté une demi-heure dans son lit, avant qu'un de ses laquais lui apport
e dérangé sous aucun prétexte
u pied de son lit à baldaquin, avec son pot urine comme pot à sperme. Ce qu'il faisait l'aidait à s'éc
ant toute la matinée et ne pouvait plus penser à au
ncore point fait. Il était sorti de sa chambre, les mains sur le crâne, marchant contre les murs, de
mbulait parmi les cuisiniers, les domestiques et autres larbins de sa maison. Une voix
oix. Maintenant, il ne restait plus qu'une personne pour l'empêcher de devenir fou, sa sœur. Les commérage
vait laissé son maître avec les voix qui le hantaient, mais cette fois-ci, celui-ci avait de l'encre ainsi qu'une plume. Moins d'une heure après, son vassal était de retour avec un médecin, mais le maître mentit
arce qu'il ne voulait qu'une seule chose, ma
lcool ne pouvaient pas calmer ce genre de voix, une voix divine. Il avait
el. Au fils des jours, ses domestiques s'enfuyaient de chez lui,
être en train de réécrire la bible pour un nouveau monde car, il en avait la certitude, celui-ci allait prendre fin, et tout allai
l'avait pas remarqué, mais il avait fini. Plus rien ne devait être inscrit dans son manuscrit. Il
et d'ailleurs, le peuple n'en réclamait pas. Si ces malheureux avaient oublié que la fin était proche, Julia