Les Regrets du Milliardaire

it risquait de se briser. Tout avait commencé ce matin-là, comme n'importe quel autre, avec la routine. Elle avait préparé le petit déjeuner pour Élias

son bureau avec une expression grave. Aurélia s'était sentie nerveuse, mais elle n'aurait jamais pu imaginer la confrontation qui allait suivre. Isabelle, la tre

on parle, » commença Isa

cœur battant la chamade. Elle sentait que quelque chose n'a

ondit-elle, tentant de garder un ton ca

papiers sur son bureau. Puis, après un silence qui sembla in

uitter le magasin à une heure inhabituelle, et il a signalé que des objets manquaient dan

e puisse être faite à son sujet. Elle savait bien qu'elle n'avait rien fait de mal, mais la manière dont Isab

ressant sur son siège. « Je n'ai jamais rien pris,

enfin, son express

oment. Si ce genre de rumeur se propage, cela pourrait mettre en péril l'avenir de la boutique. T

it sa sécurité financière, celle de son fils. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre ce

ets, » répondit-elle d'une voix tremblante. « Je vais

oment, puis soupira,

uspendre ton contrat temporairement. Nous de

son cœur battait à tout rompre. C'était une débâcle qu'elle ne pouvait pas se permettre. Elle avait tant sacrifié pour gar

comme dans un brouillard. Les tâches qu'elle accomplissait à la boutique lui semblaient dérisoires. Elle

son petit garçon, une douleur sourde envahit son ventre. Elle n'avait plus aucune certitude quant à l'avenir. Le regard de son fils, p

ant sur la chaise près de la fenêtre. Elle savait qu'elle devait agir rapidem

t protéger son fils à tout prix. Elle pensait à cette solution radicale, à cette fuite. Peut-êt

nt lui rendre visite pour discuter, prendre des nouvelles. Il n'avait jamais cherché à trop en

rprise de le voir aussi

? » demanda-t-il, le visa

il était évident qu'il savait

le d'une voix faible. « Mais... j'ai reçu une nouvelle terrible au travail.

comme s'il essayait de déceler la vérité entre ses mots. Puis il

peux t'aider. J'ai un ami qui connaît un endroit sûr, loin de to

onte. Elle n'avait pas voulu accepter de l'aide, mais en ce moment précis, elle savai

r. J'ai pris cette décision toute seule, et je do

sister, mais ses yeux brillaien

rop fière pour demander de l'aide. Parfois, accepter l'aide

d'elle savait qu'elle ne pouvait pas se permettre de s'abandonner à la faci

ses mots, ses promesses de soutien. Mais au fond d'elle, Aurélia savait qu'elle ne pouvait plus res

es en main. Elle partir