Les Regrets du Milliardaire
chaque syllabe se gravant dans sa mémoire. *Test de grossesse positif*. Elle cligna des yeux, comme si cela pouvait effacer la réalité qui se déversait
t ce qu'elle pensait savoir sur sa vie. Comment était-ce possible, après tout ce qu'elle avait traversé ? Après l'échec d'un mariage qui ne l'avait menée nulle part, après la pression constante de
s le test ne changerait pas. Le bébé était là, réel, tangible. Il faisait déjà partie d'elle,
la passion qu'il avait suscitée en elle, de cette énergie incontrôlable. Il l'avait troublée d'une manière qu'elle n'avait jamais vécue auparavant, mais elle n'avait jamais imaginé que cela pourrait avoir des répercussions. Leonard Wolfe. Charismatique, arrogant, impulsif, mais surtou
grossesse. Une situation qui risquait de bouleverser non se
re digne de son nom, un modèle de réussite dans le monde des affaires. Et une grossesse hors mariage, avec un homme comme Leonard Wolfe en plus de cela, risqu
ent lui parler de quelque chose qu'il n'avait même pas voulu admettre après leur rencontre ? Après tout, il a
tre un mauvais rêve. Mais chaque seconde qui passait la ramenait à la dure réalité. Il n'
pondait jamais immédiatement, toujours occupé par des affaires, des négociations qui l'éloignaient de tout le reste. Mais elle n'attend
Leonard. Elle savait qu'il allait nier. Il allait s'échapper de la situation d'un
ujours aussi implacable. Son regard se posa sur elle, fr
ard, sa voix déjà teintée de mépris. « Tu
Chaque mot semblait lui demander un effort herculéen. Elle se força
a pièce, lourd et oppressant. Leonard ne bougea pas, ses yeux se fixant sur le test avec une intensi
rrité. "Je t'ai dit que ce n'était pas possible. C
n, mais le rejet brutal restait toujours aussi douloureux. "Tu te moques de moi, Leon
ux. « Tu as fait ton choix, Aurélia. Tu as voulu te lier
toi, tu penses vraiment que tu peux te dégager de ça comme si c'était rien ? C'e
quelque chose ? J'ai d'autres préoccupations que de jouer à êtr
tête, se sentant comme une étrangère dans cette pièce qui autrefo
ant vers la porte. "Je ne serai jamais ce genre
la laissant seule, le cœur battant dan
t que son propre père allait la rejeter de la même manière. El
tre ses mains, pleurant en silence. La douleur du rejet, de l'abandon, n'avait jamais été aussi forte. Mais elle n'avait
rélia, c'est une honte, tu le sais. Je t'ai toujours dit de faire attention
non seulement Leonard, mais aussi l'approbation de son père. Elle n'avait plus d
n silence, elle se jura de protéger cet