Les Regrets du Milliardaire
ns. Les portraits de ses ancêtres accrochés aux murs, les meubles antiques, le parquet parfaitement poli... Tout ce qui avait toujours été un symbole de réussite, de g
s d'autre choix. Elle ne pouvait plus rester dans l'ombre, à attendre qu'il prenne une décision pour elle. Elle devait savoir où elle en était, d'autant plus maintenant que sa situation était devenue... co
le parfum de l'ambition qui avait imprégné cet endroit, tout cela la rendait malade. Elle frappa doucement, mais suff
e, Aur
mains jointes, le regard fixe. Lorsqu'il la vit entrer, il ne se leva même pas. Il ne la regarda même pas immédiatement. Il attendait sans doute qu'elle par
ncher. « Je t'ai parlé hier de ma grossesse. Tu as dû ent
pas craquer en face de lui. Elle avait besoin de réponses, de comprend
l leva les yeux sur elle, son regard empli d'une colère froide. « Tu sais ce que cet homme représent
vait imaginé. Elle avait toujours cru qu'il l'aimait, qu'il serait là pour elle, mais elle était naïve. Elle avait cru que
chance. Je suis enceinte, et ce n'est pas une e
elle, imposant, menaçant presque. « Non, Aurélia. Ce que tu fais est une erreur. Une erreur qui va t
e ses mots. « Tu me renies ? Après tout ce que j
une adolescente impulsive, et maintenant tu veux qu'on te donne une médaille pour ça. Tu v
e qu'il était de son devoir de la soutenir, de la protéger. Mais non. Il l'avait rejetée sans hésitation, la condamnant à une solitude plus grande encore. Elle sen
st pas trop tard pour revenir sur ta décision. Tu peux éviter que tout cela ne devienne public. Mais si tu ch
bien plus cruel qu'elle ne l'avait imaginé. Elle s'éteignait sous ses mots. Mais elle savait une ch
in, là où elle savait que personne ne pourrait la voir. C'était là, parmi les fleurs qu'elle avait plantées elle-même dans son en
s ce toit, dans cette cage dorée. Elle était prête à tout quitter pour fuir cette honte, ce reje
on erreur
eur de tristesse dans les yeux. Sa mère, toujours douce, toujours compréhensive, mais qui semblait im
tu le sais, mais ton père... Il est infle
man. Tu n'es pas responsable. C'est lui. C'es
a aller à sa douceur, à son amour. « Je vais t'aider, je vais tout faire
s. « Je n'ai besoin de personne, maman. Je n'ai p
terminée. « Tu ne peux rien faire. Je dois partir. Je do
c'était une fuite. Mais c'était ce qu'elle devait faire pour ne pas se perdre davantage. Elle ne voulait plus être une ombre, un reflet de ce qu'elle
dans la nuit, s