Le Milliardaire Possessif
pit
emière apparition officielle aux côtés de Gabriel, une étape qui marquerait leur lien aux yeux de ce monde énigmatique dont elle ignorait encore beaucoup. Ell
it un frisson la parcourir sous son regard intense. Il s'approcha lentement, te
vait sentir une force tranquille dans sa présence, un pouvoir invisible mais écra
ce dès l'instant où ils franchirent la porte. Les regards étaient à la fois intrigués et inquisiteurs, une preuve que leur apparition ensemble n
ra-t-elle en glissant un regard au
de est avide de nouvelles alliances, de nouveaux visages. Mais ne vous i
ir autour d'eux, comme une barrière invisible qu'il avait dressée pour la protéger des autres. Mais cette protection était aussi un rappel
tes et aux sourires parfaitement polis. Gabriel serra des mains, échangea des salutations, et Léna réalisa à quel point il était à l'aise da
aire avec un sourire énigmatique. « C'est rare de vous voir en si char
e suis sûr que tout le monde s'en apercevra bien assez tôt. » Il laissa échapper un léger
la poussait à rester sur ses gardes. Cette possessivité, cet air protecteur qu'il arborait si naturelleme
harismatique. À chaque conversation, il s'exprimait avec aisance et précision, captivant l'attention de tous. Il était respecté, redouté, et p
coin plus tranquille de la salle. Là, loin des regar
» demanda-t-il, comme s'il ch
dant. Je ne suis pas habituée
en sortez très bien, Léna. Ce monde est impitoy
es yeux sombres. « Pourquoi êtes-vous aussi pr
age. « Peut-être parce que je me sens resp
ée. « Responsable ? Mais nous ven
tains liens sont plus profonds que la durée des rencontres, Léna. Je n'aime pas voi
e et une peur qu'elle ne pouvait réprimer. Il y avait en lui une part d'ombre, un contrôle qu'il e
osa un dernier regard sur elle, comme s'il voulait s'assurer qu'elle était prête à affronter le reste de la soir
et sa maîtrise de chaque échange. Elle se sentit soudain étrangement seule au milieu de cette foule, comme si Gabri
dans la voiture, Gabriel se tourna vers elle, la
de cette soirée, Lé
... est plus complexe que je ne l'imagina
ous-estimez votre force, Léna. Vous avez quelque chose que ces gens n'
... pourquoi cette possessivité ? Pourquoi vous compo
je sais ce que ce monde peut faire aux gens comme vous, Léna. Ceux qui en
r en elle, une envie de comprendre, de briser ce mur de mystères qui les séparait. Elle avait peur, certes, mais cette pe
elle s'apprêtait à descendre de la voi
vous avez vu ce soir n'est qu'u
imple sourire. « Je commence à compren
rquait le début d'une transformation. Elle ne savait pas encore si elle devait fuir ou se laisser emporter, mais e
hait, elle sentit que sa vie alla