Le Milliardaire Possessif
pit
ut de la table, Victor Moreau semblait perdu dans ses pensées, une expression sombre et inquiète figée sur son visage. Il n'avait
é dans le sien. « Léna, il y a quelque chose dont j'aimerais
uis leur rencontre la veille, elle n'avait cessé de repenser à cette figure imposante, cet hom
x basse et mesurée. « Et je veux que tu comprennes bien : cet homme n'est pa
s dit pourquoi tu traites avec lui si tu ne lui fais pas conf
refuser. Gabriel Beaumont possède des parts importantes dans certains projets qui, malheureusement, touchent nos in
tait pas blanc ou noir. Pourtant, la manière insistante avec laquelle son père la mettait en garde contre Gabriel éveillait en elle une soif
tu te mêles de cette histoire. Gabriel n'a rien de bon à t'apporter. Il se cache derrière son sourire et
« Papa, tu parles de lui comme s'il éta
moins pas officiellement. Mais il a des méthodes agressives, et il ne recule de
rotéger, mais elle n'aimait pas cette manière de la tenir dans l'ignorance, comme si elle était incapable de comprendre la complex
ressemblait pas à l'image que son père essayait de lui en donner. Ce mystère, ces mise
aient sans cesse vers Gabriel. Ses paroles, son regard, l'assurance avec laquelle il avait occu
son téléphone vibra. Elle le saisit machinalement et ouvrit le message qu'elle venai
oiselle Moreau. J'aimerais avoir l'occasion de discuter plus calmement avec vous, si
lusieurs fois, se demandant si elle devait accepter. Son père lui avait expressément demandé de se te
savait qu'il ne serait pas sage d'en parler à son père. Gabriel souhaitait la revoir, et
ec une certaine fébrilité : *« Très
tenue, se demandant pourquoi elle accordait autant d'importance à cette rencontre. Enf
ement en avance, le cœur battant, et prit place à une table près de la fenêtre. Elle observait les passants, tentant de se calme
rire qui fit naître en elle un mélange de méfiance et de fascination. Il s'assi
na, » dit-il d'une voix douce. « Je craign
e. « Vous savez que mon père n'a
m'en doute. Votre père et moi... disons
ans les siens. « Mon père m'a dit de me méfier de vo
pris. Les hommes comme votre père me perçoivent souvent ainsi. Ils ont l'habitude de
ait en venir. « Mais pourquoi êtes-vous ici, sur nos terres
pouvait se confier. « Léna, il y a beaucoup de choses que vous ne savez pas sur le passé d
usion et d'angoisse la traver
lus complexe qu'il n'y paraît. Et que certains secrets, certaines
e ne l'aurait imaginé. Elle ne savait pas si elle pouvait lui faire co
s'il voulait l'avertir, mais en même temps la garder à distance. Elle comprit qu'il la mettait face à un c
quoi devrais-je vous croire ? Pourqu
z aucune raison de me faire confiance, Léna. Mais si vous voulez comprendre ce qui se pass
ce et cette curieuse fascination pour cet homme qui semblait