Le Milliardaire Possessif
pit
anquillité de ces lieux familiers où elle se sentait en sécurité. Elle aimait se perdre dans les allées bordées d'arbres centenaires, humer le parfum des fleurs soigneuseme
tume noir contrastait avec la nature sauvage qui l'entourait, mais il dégageait une assurance qui fit frémir Léna, comme si cette propriété, son jardin sec
totalement captivée par les lignes des collines et les nuances des champs qui s'étendaient au loin. C'étai
. « Vous avez conscience que vous
ait tout juste de réaliser qu'elle se trouvait là. Un sour
e ici est magnifique. » Sa voix était grav
pas répondu à ma question. Qui ête
artir de son calme. « Gabriel Beaumo
ûr, mais lui, elle ne le connaissait pas, et c
s n'avez toujours pas répondu à m
ation, mais aussi à un défi. « Disons que je voulais en savoir un peu plus sur
tairement le flou sur ses intentions. Mais elle sentait bien qu'insister serait inu
sser par l'entrée principale pour parler affaires av
son regard perçant et profond, comme s'il cherchait à lire en
'elle n'arrivait pas à dissiper. Cet homme, avec son assurance et ses mystères, semblai
parce que vous n'avez rien à faire ici. » Ses paroles étaient fermes, ma
presque amusé sur le visage. « Je crois e
c une foule de questions qui se bousculaient dans sa tête. Elle resta plantée un moment,
de trouver son père et d'obtenir des explications. Gabriel Beaumont... elle n'avai
sur des dossiers. À son entrée, il leva les
lque chose n
ssayant de contenir sa frustration.
re dans son regard, ce mélange de méfiance et de préoccupation. Son père, l'hom
l'as rencontré ? » demanda-t-il d'
dait comme si tout ça lui appartenait. Il a dit q
mots qu'il allait prononcer. « Gabriel Beaumont est... un homme compliqué. Nous avons des affair
riel, avec son regard intense et son sourire énigmatique,
lors, si tu n'as pas confiance
l ne pouvait pas lui révéler. « Parfois, dans le monde des affaires, nous
nt perturbé. « Mais toi, Léna, reste loin de
s être un homme ordinaire. Son charisme sombre, sa manière de parler par énigmes, tout cela la troubl
père, cherchant à apaiser son inquiétud
sourire fatigué.
outes en elle. Gabriel Beaumont... Elle n'arrivait pas à s'empêcher de repenser à ce regard, ce sourire, et cette ét
des Moreau. Elle aurait aimé pouvoir en parler à quelqu'un, obtenir des réponses qui apaiseraient sa curiosité. Mais
lle aurait dû laisser Gabriel Beaumont disparaître de ses pensées, de ses préoccup
ublaient profondément. Pour la première fois de sa vie, elle sentait que sa
contenter d'obéir sans comprendre. Gabriel Beaumont était entré dans sa vie, et il n'é