Le Milliardaire Possessif
pit
erait un endroit tranquille, où ils pourraient parler sans attirer les regards indiscrets. Mais en arrivant, Léna se demanda si elle n'avait pas fait une
e regarda par la fenêtre, observant les passants, tentant de se convaincre qu'elle maîtrisait l
rd, la repérant instantanément. En s'approchant d'elle, il esquissa un sourire qui semblait vouloir la mettre à l'aise, mais Léna ne p
e sombre. « Merci d'être venue, Léna, » dit-il douceme
rouble. « Je n'ai pas beaucoup de temps, Gab
ais que tout cela vous paraît étrange. Mais je voulais vous parler sans le poids des regar
ais méfiante. « La situation ? Vo
grandi dans un monde où tout semble parfaitement ordonné. Mais il y a des aspects de cet univers
n'a pas à me cacher quoi que ce soit, » répliqua
empêche pas certains secrets d'exister, Léna. Vous ête
e confusion l'envahissant. « Pourquoi êtes-vous là,
Parce que je vous trouve... fascinante. Vous êtes différente de tout ce que j'ai co
compliment, mais elle ne voulait pas se laisser distraire
e ont une histoire commune, une histoire marquée par des rivalités et des alliances. Je pense que vo
déterminé. « Vous parlez de rivalités ? Et d
our de lui. « Tout n'est pas bon à savoir d'un coup. Je voulais juste c
pulait, qu'il ne disait que ce qui l'arrangeait pour éveiller sa curiosité. Et pourtant,
on père m'a demandé de rester loin de vous. Et je sais qu'il y a une raison derrière ç
ément bien plus directe que je ne l'avais imaginé. Très bien, je vous en dirai davantage. Mais tout d'
ère a bâti un empire, il est respecté et... peut-être craint, parfoi
s avez bien plus à voir avec tout cela que vous ne le pensez. Vous êtes une M
quelque chose de plus profond, de plus personnel dans ce qu'il disait, et elle se demand
que vous méritez de connaître les vérités qui se cachent derrière le monde dans
s de ses mots, mais elle garda un visage impassi
alement, presque malgré elle. « Pourq
ais en vous, Léna. Vous avez grandi dans l'ombre d'un homme puissant, tout comme moi. Et tout comme vous, j'ai cherché
es, mais une autre, plus silencieuse, reconnaissait cette vérité. Elle avait souvent ressenti ce poids, celui
« Vous savez, Gabriel... peut-être que vous avez raison. Peut-être que je devrais
rmal. Je ne vous demande pas de me faire confiance tout d
e par cet homme, par son assurance, par le mystère qu'il représentait. Il éveill
Gabriel se montrait charmant, drôle, et Léna se surprit à sourire, oubliant presque les avertissements de son père. Ma
lui dire au revoir. « J'espère que nous pourrons nous revoir bientôt, Léna. P
n point de non-retour en acceptant ce rendez-vous. En quittant le café, elle ne put s'empêch
e chose en elle. Elle ne savait pas encore si elle avait fait le bon choix, mais el