Dans l'environnement du mal 1

ent. On s’était perdu de vue et lorsqu’il me rencontra au moment où il voulait me donner le lot de lettres que Cy

'année où je dois présenter l’examen pr

ttérature. Alors, le jeune Coucougnouf

rain de sourire, fier de lui comme un enfant de bonne famille. Il était toujours tiré à quatre épingles, bien chaussés, un teint noir, bonne mine. On dirait un fils

le qui ne comptait que deux enfants. Né à l’ouest du Cameroun, il arrive à Yaoundé apr

des studios et des chambres. Donc, il y a toutes les catégories de personnes qui y logent : des étudiants, des jeunes mariés et de vieux c

istoires qu’il racontait. Il aborde ma mère pour la première fois, étant impressionné par le nombre d'enfants, il désirait savoir si tous ces enfants étaient issus d'une seule femme. Malgré l'information venant de ses camarades, il

tout le temps. Au début, je te prenais pour la domestique, ensuite j'ai pensé que tu étais

ail de mon frère, si je constate que c’est bafoué ou inachevé. Pap

de peine ! Tu œuvres immodérément ! Le

se nullement, ça

Du co

s pas. Je suis abondammen

t probante ! Quell

ère scien

Ce n'est

! Qu

ue ! Brillante dans

és en littérature. Le

problème, je peux t

squ’aux oreilles) Merci,

e fit comprendre qu'elle allait obtenir l'accord de mon père. J’étais convaincue que

marades Estelle et Gisèle attirèrent son attention. Elles s’avéraient mieux le connaitre. C

ature et rien que cela, car c’est la fille chérie du bailleur ; sois sur tes ga

belle et intelligente ! Elle a besoin d'un soutient en litt

t. - Hum ! Oui ! Les filles du calme! Je veux juste l’aider et rien d’au

t vous allez valider vos

as commencé sans forme de procès, à balader tes mains sur mon corps ; n’eût été mon charisme, et mon refus brutal,

s me fatiguez, dem

isèle : (ens

tendaient bien. Jamais, on n’avait entendu de disputes entre elles. Elles é

pression de mieux le connaitre :

s dévoué, il était estimé par mes parents. Six à huit heures de cours par semaine. Coucougnouf était méthodique et ponctuel. Sa capacité d'écrire et de parler le Français lui donnait

le par sa joie de vivre, tous les enf

me donner les cours à

e à tout hasard, Coucougnouf arriva à la maison. Je lui fis savoir que j’avais un devoir à r

les cours finissent tôt au collège. Il me trouva à la maison af

. On y va, je vais te ramener après, dans 1heure 30 minutes au plus tard. Je suis à l’EMIA. Ma famille était à MELEN, donc c’était à

y va, je

tre de la route. On dirait un quartier isolé. Je ne pouvais m'imaginer qu'il existait les coins aussi délabrés dans la cité capitale. Nous étions les enfants de ‘barriè

près lui. Je ne savais même pas s’il avait un ami. Il nous a inculqués ainsi cette mauvaise habitude de ne jamais visiter les amis, au point où les gens me traitaient d’ingrate. Vous pouvez me rendre visite tous les jours, moi par contre, j

allait longer un couloir étroit avant d'entrer dans sa chambrette. La chambrette qui était devant celle-ci était écroulée. La cham

es et un petit couteau. Sur l'autre reposait sa documentation. La chambrette était en désordre, l’image de ce lieu ne reflétait pas ce qu’il était, encore moins "le fils de boss" pour lequel il se prenait. Mais plutôt celui d’un étudiant affamé et misérable. Je me demandais intérieurement où il avait emprunté les vêtement

opos, sans poser de questions comme à l'accoutumée. Tellement j’étais pressée. Il fallait quitter précipitamment ce lieu qui me répugnait tant. Une heure plus tard, le devoir fu

pas sortie t

oire, j'avais beaucoup bossé. Je n'avais plus d

rents vont s’inquiéter. Ils n’étaient pas là quand je sortais. Person

compagne. Ce n'est pas poli de ref

gnouf insista si bien que je fus obligée de prend

Juste un

bouteille de coca te dépas

j’eusse le temps de poser la bouteille au sol, je ressentis un vertige, un grand malaise hors du commun. Je

e vertige, ma tête bourdonne, la c