Dans l'environnement du mal 1
oduc
alors ! J'ai eu la célébrité du problème. Ah ! Ce célèbre problème qui s'est étiré dans ma vie, l'a perturbée, l'a chamboulée, m'a torturée. Il continue de l'impacter négativement. D'
rsonne entra dans ma vie avec l'esprit incube et de façon soudaine, sans que je ne p
e un sobriquet au mis en cause qui est ici mon époux le père biologique de nos trois enfants (un garçon et deux filles). Je le surnomme : Coucougnouf, un pseudonyme qui signifie pour
scolarisation, non et sous-alimentation, manque de logement ...) alors que la personne qui est sensée nous protéger, nous encadrer, nous conduire vers la
rd tuer mon instinct maternel qui est inné chez la plupart des jeunes filles, avant d'être réveillé par un chantage suicidaire. Malgré ma bonne volonté, je vais comprendre que l'esprit du mal et l'esprit du bien ne font pas bon ménage. Je vais également saisir que les ténèbres et la lumière ne peuvent cohabiter, peu importe l'intensité de la lumière. Finalement, je me suis re
ans la vie d'un enfant ? Pour un enfant, le père c'est son idole, c'est le plus fort, c'est le plus intelligent, c'e
OKO HARAM, une menace, un danger, la personne dont il faut se méfier, la personne redoutable, qu'est-ce qu'il faut faire ? : Se
ice et des droits de l'Homme protègent le
un homme et l'au
la ju
s droits d
âmes bienh
le nom m'échappe : « Un auteur ne dén
ites-moi ce qu'il f
toutefois rentrer dans tous les détails de ma vie avant le mariag
fois familier, c
Chapi
dro
odeste famille de plusieurs enfants, issus d'un même père et d'une même mère. Je n'étais ni l'ainée ni la cadette de la famill
mandais que l'on m'offre un livre de mathématiques. Pour tout dire après le bon Dieu, c'était l'école que j'aimais le plus. Je me sentais
vions jamais connu de problème lié à un bailleur, ni de problème de logement, ni d'eau, ni d'électricité, ni de s
a vie afin de prendre bien soin de ses enfants. Ma mère quant à ell
matières scientifiques : mathématiques, chimie et physiques. J'obtenais toujours les meilleures notes en ces différentes matières. J'étais
s aider par mes proches. Pourtant, je ne savais pas que l'aide venant d'un proche de la fa
us particulièrement au Cameroun ou du moins à défaut de devenir pilote, je rê
chargé par mes études et mes travaux à la maison, je faisais les cours de danse. La preuve, j'avais été sélectionnée parmi le
ésus-Christ comme mon Seigneur et mon Sauveur. Ayant reçu mon baptême à l'
e en train d'aider ma maman dans les travaux ménagers. Je ne restais jamais les bras croisés, non il fallait absolument que je fasse q
atre fois la semaine : Le mardi soir pour l'étude biblique, le jeudi soir pour la prière, le samedi après-midi p
e, souriante et toujours en train de chantonner. J'avais de très bons rapports avec tous les locat
s. Je n'étais pas du genre à rêver d'avoir un prince charmant plein aux as, qui viendra changer
ère, néanmoins l'intelligence, la sagesse et la beauté ouvrent toutes les portes. Je savais m'adonner aux études, j'étais à même d'étudier dans une boite de nu
me donner entièrement à mes études. Il m'appréciait beaucoup, il aimait ma compagnie. Il m'emmenait part
n dix morceaux, je laissais le soin à tous, de l'ainé à la cadette d'en prendre un morceau, puis je prena
me dit à m
poser ma candidature pour être prés
Sais-tu que cela demande beaucoup de
ente de tout cela,
n'ont pas beaucoup d'aptitudes pour
a que j'avais postulé pour être prés
p de courag
erci
'étais audacieuse dans me
, tu es belle... » Mais contrairement aux jeunes 'androïdes' de nos jours, les jeunes du vingtième siècle, du moins ceux que moi je côtoyais, dire je t'aime à une fille n'avait aucun rapport avec le sexe. Alors
chaleur maternelle auprès de ses sœurs, cousines et filles. Auparavant, j'étais la seule fille dans son environnement immédiat. Après le décès de sa maman, il était entouré de beaucoup d'autres filles. Sur ce, je me suis retirée