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Des nouvelles de la posthistoire

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1255    |    Mis à jour : 09/09/2021

nser la java. Je trouve un joli cottage à l'entrée du village. Ma femme et nos trois enfants y sont déjà installés quand j'arrive. Très vite, je constate que la maison est

village idéal pour moi. En marchant sur la rue principale (la seule), je tombe sur Marie et sa fille blonde, un peu boulotte. La sœur de Marie les accompagne. C'est une harpie au crâne rasé qui traite

t, mais j'ai des choses plus urgentes à faire. Je viens de commettre le braquage du siècle avec deux complices, des types que je n'ai jamais vus de toute ma vie. Nous avons huit millions de beaux billets dans nos sacs et je cherche une oc

me parle : « Je suis désaffectueu

banque et mes complices commencent à s'énerver. Le plus malingre des deux, qui se trouve également être le plus débile, me demande jusqu'à quelle heure la poisson

hasard : c'est la première fois que nous nous rencontrons en personne. Son mec reste planté près d'elle, impassible, tandis que je la drague. Le visage du type est ravagé par l'acné juvénile et semble être sur le point d'exploser. Ils m'i

e de papiers. Sur l'écran de l'ordinateur, des images s'animent quand la jeune actrice récite le passage correspondant. Des paysages défilent sous nos yeux : Trois-Rivières sous les bombardements nazis, Montréal

me une femme. Il a vraiment l'air ridicule avec sa perruque blond-platine, ses talons aiguilles et sa robe trop ajustée. Il court en criant :

de mes complices : nous sommes perdus dans la forêt, mais plusieurs indices me laissent croire que nous sommes tout près de notre objectif. Nous suivons la voie ferrée. Derrière la colline se trouve un ranch tenu par une très belle femme. Je

propriétaire du ranch. Je ne supporte pas l'idée qu'elle soit en danger. Je la soulève – elle est si légère que je peux la mettre sous mon bras et courir sans me fatiguer. Une fuite éperdue. Sur la voie ferrée, je fais des bonds prodigieux, mais chaque fois que me

irconstances alarmantes. Elle me raconte alors cette histoire totalement déplacée : « Je conduisais la voiture l'autre jour, et la petite était assise sur le siège arrière. À un certain moment, elle s'est levée, s'est penchée sur mon épaule et m'a murmuré à l'oreille : "Maman, est-ce que les arbres ont un sexe ?" » Elle éclate de rire. Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle. Je réponds qu'il serait peut-être temps de signaler la d

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