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Séduction interdite

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1165    |    Mis à jour : 21/09/2024

, mais je continuai à marcher, cherchant désespérément mon hôtel. Enfin, si on pouvait appeler ça un "hôtel". Quand je suis tombée sur cette bicoque à l'ense

er, et l'ensemble avait l'air d'avoir été oublié depuis des décennies. J'étais fatiguée, la chaleur m'éc

agacée que quelqu'un ose la déranger. Ses yeux noirs perçants semblaient chercher une raison de me rejeter. Son air renfrogné ne me rassura

oussif pendait sous la fenêtre, et après quelques tentatives infructueuses pour l'allumer, je me résignai à accepter que je passerai la nuit dans un four. L'idée de passer une nuit ici m

passée dans cette chambre me rappelait que je devais agir rapidement. En jetant un œil à la pile de dépliants que j'avais av

soir, il m'appelait sans faute. C'était une habitude, une routine que nous avions établie après la mort de notre père. Cela faisait partie de nos règles de sécur

que je n'aurais pas plus de succès ici. Alors je devais me débrouiller seule. Et même si ça paraissait dése

e plus, je sortis dans l

lait approcher les soixante ans, un air fatigué sur son vi

vous n'auriez pas vu

'échec peser sur mes épaules. Mes tentatives pour mémoriser quelques phrases en espagnol s'effondraient face à la pani

fléchissant pendant un moment. Mais son expression r

épondit-il d'un ton neutre av

haque coin de rue, c'était la même histoire, les mêmes réponses polies mais

t aux grandes avenues désertes, cette rue débordait de vie, surtout autour d'un café qui résonnait de conversations animées. Prenant mon courage à deux mains

monter en moi, mes joues brûlantes trahissant mon malaise. Tout en évitant de croiser les regards, je m'avançai parmi les tables

patient s'approcha de moi. Elle mâchait br

ton qui laissait clairement entendre qu'

st-ce que vous auriez vu cet homme?"

hant de plus belle, puis elle leva le bras et cria

ttarda un peu trop longtemps sur moi, et je sentis immédiatement mon corps se tendre. Il était bien habillé, un café à la main, mais ce qui me tr

t coiffés, sa mâchoire carrée et sa tenue impeccable lui donnaient un air à la fois séduisant et intimidant. Mais quel

i. Il semblait prendre un plaisir presque malsain à me rendre mal à l'aise. Mon esto

chose à voir avec la disparition d'Endrick, la voix str

nt contre la poitrine, un air agacé

pliant toujours en main. Je me sentais exposée, comme si tous les regards étaient tournés v

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