Séduction interdite
te fois, la panique s'empara de moi. Quelqu'un m'avait remis ici, encore nu, exposé, vulnérable. Mon esprit tentait désespérément de r
nt, mais je rampai vers la lumière blafarde qui s'échappait de l'entrebâillement. Atteignant enfin la pièce, je reconnus la lueur d'une cuvette
Le carrelage frais sous mes mains me fit un bien fou, mais la confusion restait. Une grande douche se dressait devant moi, et à côté, une baigno
, et je remarquai un bol de riz parfumé posé sur la table. Sans réfléchir, je m'en emparai et avalai tout en quelques bouc
op fatigué pour lutter. Pourquoi
mbre se profilait près de la porte. En une fraction de seconde, une main douce mais ferme se posa sur ma bouche, m'étouffant à moitié, et un visa
», murmura-t-elle d
sentais qu'elle n'était pas une menace. Ses yeux
Mon cœur battait si fort dans ma poitrine que j'avais du mal à respirer correctement. J'étais sur le point d'obtenir
chercher frénétiquement mes vêtements, espérant retrouver ceux que je portais avant d'être enlevé. Impossible de sortir de cette
oie, verte, posée au bord du lit. Sans me poser de questions, je l'ai attrapée et enroulée maladroitement autour de m
x silhouettes imposantes se tenaient dans l'encadrement. Des hommes, visib
atement l'équilibre. Mon corps fut projeté sur le lit, et j'ai senti la douleur éclater dans mes poignets lorsqu'ils tordirent mes bras derr
grave, son souffle chaud effleurant mon oreille. J'espérais encore que tout cel
« Si tu obéis, ça ira. Sinon... » Une main calleuse glissa lentement le long de ma cu
raversa, et j'ai tenté de
ends ? » i
le matelas sous le poids de son corps massif. La main qui serrait ma bouche se retir
ança d'un pas lent, son visage impassible. « T'es une fille o
nt sans douceur, me poussant vers la porte. Mon corps tremblait, mais je serr
e côté, toutes fermées. Je me demandais si derrière chacune
és avec soin et richesse, comme un ancien palais où chaque détail témoignait d'une opulence presque indécente. De larges peintures ornaie
a doucement. Derrière, le maître de ces lieux m'attendait. Je sentai
ns ce décor de marbre froid. Deux fauteuils en cuir, entourés d'étagères rempli
ence qui régnait dans la pièce était oppressant. Mon cœur battait de plus en plus vite, mon souffle se
ton, forçant mon visage à se tourner vers lui. Et c'est là
ait
je redouta
n. Ses doigts serrèrent un peu plus fort ma
» murmurais
place à une expression froide e