Séduction interdite
yeux brûler dans mon dos. Complètement déstabilisée, je décidai de mettre u
mir, mais un malaise étrange ne cessait de me hanter. Et soudain, mes yeux s'ouvrirent brusquement, mon cœur battant à to
une voix sournoise avant de me frappe
nd je repris mes esprits, la chaleur étouffante me fit rapidement réaliser que j'étais prisonnière. Au
attrapait par les pieds et les bras pour me traîner dehors. L'air chaud caressa ma peau trempée de sueur alors qu'on me sortait du camion. Im
urité me lacéraient la peau alors qu'on me couvrait d'une lourde couverture, piégeant la chaleur insuppo
leurs voix étouffées discuter avec quelqu'un à l'extérieur. Même si je ne comprenais pas l'espagnol, leur ton léger et les éclats de rire me
contact m'électrisa, et je me figeai, terrifiée. La main glissa lentement sur ma cuisse, relevant ma jupe au passage. Mon souffle se blo
is mes larmes couler silencieusement sur mes joues. J'ai serré mes cuisses aussi fort que possible,
hommes résonnèrent dans la voiture, chacun trouvant du plaisir à ma souffrance. La main revint, encore plus cruelle, serrant cette fois m
ement la cagoule, juste assez pour me couvrir la bouche d'un chiffon imprégné d'une étrange odeur douceâtre. Rapidement, les vapeur
battait au rythme d'un tambour douloureux. Je sentis quelque chose de doux sous ma tête, un oreiller, et mes membres semblaient en
eption d'une fine ligne de lumière qui s'infiltrait par une fenêtre mal fermée. La pièce semblait luxueuse, avec des meubles élég
iatement en moi. Un cri étranglé s'échappa
river pendant mon inconscience. Je ne trouvai aucun indice, mais cela n'apaisa pas ma terreur
s me trahirent, et je m'effondrai au sol, incapable de supporter mon propre poids. Ce qu'
t vite. Peu importe où j'étais, rester plus lon
oi, mes pensées étaient tout aussi désordonnées que le battement sourd qui résonnait dans ma tête. Mon corps semblait peser une tonne, chaque muscle en veille depuis trop longtemps. Mes p
iable me déchirait la gorge, ma langue collée au palais comme du papier sablé. Je ne savais pas où j'étais, ni comment j'avai
s de cette léthargie étouffante. La lumière semblait si proche, et pourtant chaque centimètre parcouru me coûtait un effort monumental. Enfin, après une l
barreaux de fer. Huit pour être exact, bloquant toute possibilité d'évasion. Derrière ces grilles oppressantes, un jardin magnifique s'étendait à perte de vue, luxueux, presque paradisiaque, en contraste cr
aux, ils m'attraperaient en un clin d'œil. Je me retournai, essayant de trouver une issue, une solution dans c
tai sur elle, mes mains tremblant d'anticipation, et bus avidement, ne laissant que quelques gouttes derrière moi. Le soulagement fut immédiat,
é me happa