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PDG: Dingue de ma patronne

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1325    |    Mis à jour : 11/08/2024

s les draps, prêt à m'abandonner au sommeil. Ma tête tourne, et j'ai un peu

dormir encore quelques heures. Puis j'entends une voix douce crier mon nom. Finalement, je me lève, mon corps encore affaibli par la

n fi

re la porte, soulagée que je l'aie fait. Je

ce n'est rien. Entre, ça

J'ai apporté de quoi manger. S

que ma mère est une excellente cuisinière. Depuis toujours, la cuisine est sa véritable passion, même si elle a dû suivre une carrière de secrétaire pour satisfaire ses parents. Quand mon frère et m

n'ai pas encore eu le temps de ranger après la

d'Élisa me rappelle de mauvais souvenirs, ceux de mon père. Il est mort quand j'avais onze ans, emporté par un accident. Personne n'a rien pu faire pour le sauver. Je

it, ma mère et moi, avant que l'odeu

délicieux, co

pour mon pe

son fils. Ses talons et son rouge à lèvres sont indispensables. Elle est toujours élégante et sûre d'elle. Je n'ai jamais compris pourquoi elle n'a jamais retrouvé quelqu'un après mon père, mais je n'ai jamais voulu lui poser cette que

comptes pas chercher du

vec toi. Je le ferai, quand je serai prêt.

our elle ? En restant ici, sans boulot,

dissipée. Décevoir Chris et Lisa est une chose, décevoir tout le monde aussi, mais décevoi

er la propositio

édiatement dans ses bras. J'ai l'impression d'ét

nnes soirées. Après son diplôme, il a été recruté par un journal connu pour son orientation gaulliste et conservatrice. Une belle carrière en perspective. Moi, j'ai tout de suite travaillé dans une agence de presse réputée en ta

oise, encouragé par Étienne, a proposé ma candidature sans mon accord. L'agence m'a contac

e un écho sans fin. En croisant son regard embué, je

de me résoudre à appeler l'agence. Ils n'ont même pas exigé d'entretien pour le poste, mon expérience dans cette prestigieuse agence leur a suffi. Je pensais avoir un

i rend la situation encore plus ironique. Bien que le football m'ait séduit dès l'âge de six ans, je ne suis

rivé à la salle, mes camarades se moquent de mon nez bien amoché. Je leur réponds par des sourires amusés, tout ce que je ve

ée par cette femme qui m'a dépouillé de ce qui me restait d'humanité. Après trente minutes de crochets et d'uppercuts, je perds le contrôle total de moi-même. Mon état de transe prend

r chez moi et d'app

ien remis de

usiaste que mon silence qui

x, ç

epté ce travail à l'age

, réfléchissant à la meilleure ré

ou quelque chose t'

r. C'est la première fois que j'

n te pousse à faire les bo

même m'as poussé dans s

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