PDG: Dingue de ma patronne

envie de monter seul dans cet appartement miteux. Elle ét

st... C'

raper de cette soirée, tu sais. Je sais très

est toi qui commences par me manquer de respect. T

ension s'installe entre nous, différente de celle du dîner. Sa respiration devient plus saccadée, sa lèvre

it con,

es se mêlent. Ses mains explorent ma chemise pendant que je m'égare dans ses cheveux blonds. Je me retrouve vite déboutonné, torse nu. Entre deux baisers, je l'entraîne vers ma chambre. Elle s'étend sur le lit, allongée sur le dos, et je me dresse au-dessus d'elle. Je retire ses collants sans ménagement pendant qu'elle se d

servatif trouvé dans le tiroir de ma table de chevet et m'exécute, sauvagement. En quelques minutes, sans changer de position, je pousse un cri de plaisir. Bien conscient que ce plaisir n'était pas forcément partagé ni sincère. Mirabelle semble pourtant aux anges,

e... Pour un petit abruti,

ueur, et, ne sachant pas comment réagir, je m'échappe brusquement de ce moment intime en prétendant avoir besoin d'aller aux toilettes. Quand je reviens,

ester ici c

he désespérément une excuse, mais final

aiment été sympa, et je dois dire que

hes avec moi et puis tu me laisses tomber, c'est du déjà-vu. E

manière similaire à ce soir. Dans mes souvenirs, c'était plutôt agréable. J'étais parti aux aurores, niant tout le lundi au lycée pour éviter les moqueries des potes. Faut dire que Mirabelle avait la réputation d'être la fille faci

vant que j'aie pu la retenir pour m'excuser. Je l'entends dévaler l'es

n'aime pas cet endroit, mais c'est tout ce que je pouvais me permettre en termes de loyer. C'est ce que j'ai trouvé de mieux en trois pièces. Les murs sont couverts d'une peinture défraîchie, mais c'est encore mieux que tous les appartements que j'avais visités. Le parquet est usé, la cuisine manque d'hygiène, et la salle de ba

'acte, je n'avais en tête que l'image de Mélissa. Celle qui me hante, qui me rend malade. J'essayais de me convaincre que je pouvais encore désirer un autre corps, mais la vérité c'est que je ne ressens

par cette soirée. Dans mon sommeil, j'entends mêm

pelle. Une voix féminine hurle à l'autre bout du fil. Je suis encore trop ensommeillé pour comprendre ce qui se dit. Finalement, je réalise qu'

is de coucher avec elle ? Tu sais très bien q

e matin. Les choses sont allées vite, on a juste profité. Tu te souviens de ce

e nous quand elle se rend

bise à ta m