PDG: Dingue de ma patronne
z ma main. J'appelle les secours, n
illé sur le sol. Ses cheveux tombent devant ses yeux, m'empêchant de lire la peur que trahit sa voix tremblante.
ives qui encadrent la porte. La femme tente de me retenir, surprise par ma capa
séparent de chez moi. Je pense à l'état dans lequel je vais retrouver mon appartement, à qui je pourrais trouver dans mon lit en rentrant. Je rigole
et me retrouve devant mon immeuble, haut de cinq étages et si étroit. Malgré mon odorat un peu embrouillé à cette heure-ci, je sens un mélange de renferm
ù étais-
première, co
i la paix
Tu avais dit que tu
e n'était pas mon meilleur ami depui
long à revenir de ma pause clope. Les autres l'ont fait. Vous êtes les seuls idiots à rest
sparu pour ta petite fugue du samedi soir. Tu as raison, je ne sais même plus pourquoi on r
imberbe lui donnent un air juvénile. Il n'a pas beaucoup grandi d
lcool pour noyer ton chagrin, on est là pour t'écouter !" C'est bon, stop, vous n'avez toujours pa
pièces de mon appartement avant qu'une personne
avec moi pour désin
eux qui ne méritent pas son attention. Ses longs cheveux bruns attachés en chignon et ses yeux marron presque noirs lui donnent un
te qui
placard et prendre de quoi soigner mes blessures. Je m'assois sur le rebord de la baignoire. Le désinfectant
bé sur plus
ser plutôt que de rip
Ma
e pas d'elle ce soir. Je suis épuisé,
c'est que tu avances, que tu arrêtes de te faire du mal. Tu
uivre. Elle applique une crème sur mon arcade sourcilière et vérifie que mo
e une
et je ne sais pas si c'est nerveux
Qu
ans le miroir,
ortant sur mon épaule. Elle me supplie de la reposer, mais je n'écoute pas et la dépose dans la baignoire. Tout en la retenant, j'ouvre l'eau de l
ayer, je te jure
rempée, et je lui tends une
as fait ce coup-là ces
oir que, malgré tout, même si je p
confier, même mes blagues les plus idiotes, un peu typiques des adolescents. On était dans la même classe pendant trois ans, tandis que Chris était dans une autre. On faisait toutes nos bêtises ensemble, tous les trois. Nous étions inséparables, ce qui agaç
heureux que Chris l'est aujourd'hui grâce à elle. Au début, c'était difficile à accepter, peut-être par fierté ou par peur que notre trio ne ch
a, ça
ssaire. Mais en voyant l'état de Lisa, il éclate de rire, et on se joint
se faire tard, et on a un déjeuner e
ues jours de repos et ma g
s continuer à ne rien faire... Ta mère
, je
cuter, même si je sais qu'il a raison. Je les embrasse, leur ouvre la porte, et les regarde descendre l'e