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Les dames de Corrèze

Chapitre 4 Cinq années de bonheur

Nombre de mots : 1422    |    Mis à jour : 27/12/2023

rme, au milieu des animaux. Madeleine n’a pas eu d’autre grossesse.

mon corps ne puisse plus. J’aime faire l’amour avec toi et je voudrais profiter de ces moments de plaisir, sans avoir l’inconvénient des enfants. Je serais ainsi beaucoup plus

mer comme au début. Notre vie sera aussi plus facile, je n’aurai pas beso

sse, pas ta reine ? demand

vie, mon trésor, c’est

e grossesse. Elle irait consulter son beau-père pour lui parler du diaphragme. Après tout, il était médecin et comprendrait bien sa demande. Elle avait lu da

joie. Louise un jour a eu l’idée d’accrocher la luge derrière le chien Rex avec une grosse corde. Elles riaient tellement toutes les deux que Madeleine était sortie de la maison pour voir le curieux attelage. C’était l’occasion aussi de faire des batai

e même, alors que Jeanne prenait son temps. Louise aimait les histoires chevaleresques. Jeanne aimait la poésie. Elle rêvait et inventait des histoires le soir en regardant les étoiles. Louise combattait les dragons et les chevaliers en armure. Jeanne parlait aux princesse

ller rejoindre ses copains au café Dupuy. Ils écoutaient la radio qui, en plus de diffuser de la musique, don

constituait son stock d’armes, en vue peut-être d’une seconde guerre mondiale, espérant ainsi trouver le moyen d

, nous dans nos campagnes. Ils v

y aller. Il faudra bien qu’il reste des hommes pour conti

sauver mon pays et si je dois mourir, au moins on

remière Guerre. Personne n’était préparé. Ce sont l

comme nous le faisons. Les informations nous arrive

*

le d’accès avec le petit train. Ils se levèrent de bonne heure. Madeleine avait la veille fait cuire un gros pain au levain. Elle avait coupé des tranches de jambon sec, préparé un morceau

pour trouver les myrtilles, ces petits fruits qui serviraient à faire de la gelée si les filles ne les dévoraient pas toutes avant d’être rentrées ! La cueillette s’étalait de juin à septembre. Ils n’étaient pas les seuls à s’y rendre. C

tranquillité par la présence de ses cascades. Ils pouvaient descendre jusqu’à pouvoir toucher l’eau. Ce qui était fort agréable quand, au mois de juillet, il faisait alors une chaleur étou

x bestiaux se tenait sur le pré de Laborit, à l’entrée de Salers, qui était baptisé naturellement « le foirail ». Des Parisiens venus en villégiature venaient participer à cet évènement. Ils regardaient le concours du plus gros bœuf. C’était pour eux comme un amusement. Les homme

les traites contractées pour l’achat d’une nouvelle machine, soit d’acheter des veaux pour renouveler leur cheptel. En fin d’après-mi

oujours dans les jupons de sa mère. Elle aimait bien nourrir les poussins et ramassait les œufs frais. Elle arrosait les fleurs et surveillait les to

votre naissance, j’ai vu que vous étiez différentes. Elle est trop douce, trop réservée, trop discrète aussi. Elle est comme sa mèr

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