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Les dames de Corrèze

Chapitre 3 192

Nombre de mots : 2346    |    Mis à jour : 27/12/2023

s nouvelles maisons qui se construisent dans les villes, ils sont souvent sollicités. On commence à voir apparaître des lotissements. Les maisons sont différentes, mais elles sont

pièces différentes. Chaque jardin est délimité par d

e vont se promener au mili

ue nous avons dû faire appel à de nouveaux ouvriers venant même de la Dordogne. On nous demande de travailler de plus en plus vite. Un jour, je te promets, nous en aurons une

e Dupuy tiennent la gargote où se réunissent les villageois. L’occasion de rencontrer ses voisins et d

dans nos foyers. Dans les villes, celle q

forcément des trains. Nos campagn

ent un train de voyageurs parti aussi de la gare de Brive et venant d’entrer dans le tunnel de Pouch. Sous le choc, la locomotive du train de voyageurs fut soulevée et projetée sous la voûte du tunnel. Les wagons en bois s’encastrèrent les uns dans les autres et les wagons de marchandises prirent feu, transformant le tunnel en fournaise. Malheureusement, les secours ne purent arriver sur place que deux heures

père Verlhac, c’est pourquoi Madeleine avait entendu souvent cette histoire de la part de ses parents. Toute la ville avait été endeuillée. Son épouse veuve

. Tout le monde veut oublier les ravages de la Première Guerre. On a envie de vivre heureux. On veut

scussions toujours les mêmes m’ennuient. Je v

ait bien que ça arriverait mais n’en connaissait pas vraiment les signes. Un jour en fais

oux, bien pleins et j’ai tellement de bonheur à les

ont grossi, j’ai l’impression qu

eut-être aller

c’est délicat, c

able, il y avait des journaux. Mais Madeleine ne bougeait pas et ne touchait à rien. Elle avait l’impression d’être comme dans un musée. Chez ses parents, tout était tellement simple. Avec leurs sept enfants et seulement le

le. Que me vaut cette

as seulement pour ses malades. Il avait des petites lunettes rondes qui lui donnaient cet air un peu sérieu

médecin. Souvent après avoir mangé, même avec appétit et envie, j’ai des vomissements. Les odeurs m’incommodent, ça me

ds un bébé. Je pensais que depuis votre mariage il y a deux ans, ça n’arriverait pas. Nous en parlions justement avec Germaine il n’y a pas trois jours. Nous étions un peu inquiets et même à nous demander si Émile faisait bien son devoir conjugal ! Pour fêter l’é

ur, car moi non plus

t. Au fond d’elle-même, elle savait qu’une petite chose poussait au fond de son ventre plat. La nature est tellement merveilleuse. Quand elle était petite, elle avait souvent recueilli des chatons qu’elle avait trouvés cachés en haut de la grange et abandonnés par leur maman. Elle leur apportait du lait de leur ferme. Elle les câlinait pe

Elle avait sorti une nappe et mis le couvert comme pour un jour de fête. Dans la cheminée se tenait au chaud un bon pot-au-feu avec les légumes du jar

our, je t’attenda

t cet accuei

allons êt

en ? Tu ne t’e

ur. Je t’aime tant. C’est merveilleux. Tu as raison, fêtons l’évènement. Il va falloir qu

bras et lui fait fair

t, je ne suis plus seule.

re papa, se mit à chanter Émile

pendant son jour de repos, il a fabriqué un petit berceau en bois. Il y a mis tout son amour. Il a même fait une sorte de bascule pour pouvoir bercer le bébé sans le sortir de son lit. Madeleine a cousu un tour de lit, qu’elle a rembourré avec les plumes de ses oies. Elle a ta

es premières douleurs ont pris Made

ier. Tu vas préparer des serviettes, une bassine. Fais que l’eau soit chau

s deux petites filles, des petites vigoureuses, pendues

re. Je suis très fier de toi. Il va falloir aider Madeleine. Pour l’instant, je vous enverrai Marie, la petite bonne de la maison. Je pense que ta

trop fatiguée pour se rendre compte de la charge de travail que va engendrer l’arrivée de ces deux petit

s. Elles ont déjà faim. Madeleine est sous le charme. Elle attendra Émi

er Louise comme ma grand-mèr

ffet la plus gentille des grands-mères. Ma grand-mère Louise a un peu fait les 400 coups dans sa vie d’après ce qu’on

ant terrible qui revendiquerait toujours son espièglerie. Elle se ferait toujours remarquer en chantant, en dansant et en cachant les jouets de sa sœur. Elles se complétaient bien toutes les deux, comme des jumeaux p

it le repas pour le retour d’Émile. Ses journées passaient encore plus vite que d’habitude. Elles étaient occupées avec un quotidien chargé. Elle se levait très tôt, avant que les petites ne se réveillent. Elle partait nourrir les poules, les canards et les oies. Parfois, elle trouvait des œufs sous la paille. Elle amenait le cochon et la vach

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