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Survivre à l'enfer des Hommes

Chapitre 5 05

Nombre de mots : 1630    |    Mis à jour : 17/12/2023

e 5 : L

a

ais que je suis tout près, refaire le chemin en sens inverse évoque en moi des souvenirs que je voudrais oublier. Mes poumons me brûle, mes yeux piquent, j'ai l'impression de courir depuis des lustres, si je ne m'arrête pas pour boire je n'

n'avait ni complètement été abolie, ni complètement autorisée par l'islam mais elle avait été règlementé. Seul un prisonnier de guerre pouvait être considéré comme esclave, moi je ne l'étais pas, j'étais une survivante. L'islam interdisait formelle de prendre comme esclave toute personne de confession musulmane, les esclaves e

bus pour Awash à partir de là je me débrouillerais pour arriver à la capitale Addis Abeba. Je ne sais pas encore très bien ce que j'y ferais, en fais si la capitale est immense s'y cacher sera facile je n'aurais qu'a prétexté avoir perdue tous mes documents dans un feu et n'avoir aucun parents pour me fair

commence par mon visage ensuite mes aisselles, mes jambes, mes bras, certaines parties de mon corps... Je grimace de douleurs à cause des courbatures, des plaies ouvertes et des bleus. Viens ensuite la partie que je redoute le plus de laver mon entrejambe, durant tout le trajet j'ai marche les pieds écartés comm

lancheur, mais est propre, de toute façon je n'ai pas mieux. Je le déchire en six morceaux en tout avant de ranger le reste, je me sers de trois d'entre eux pour me faire des dessous sûrement comme au moyen âge, les trois restant me servent de bandage. Je m'habille rapidement, me pressé vers la gare juste à temps pour voir partir le dernier bus. En venant j'ai remarqué un groupement de voiture, av

pas, ils vont me rattraper c'est sûr. C'est la seule pensée cohérente que mon cerveau semble à mesure de comprendre sur le moment. Je me le répète encore une fois : maintenant il vont me rattraper et quand ça sera le cas ils me tueront. Des mains se posent sur moi. Des main d'hommes, le choque,

abattre. Je suis comme figé, sauf que la gifle ne vient pas j'entends une voix pleine de colère donné un ordre sec « viré le moi d'ici, je veux votre démission dès notre retour. » Je suis toujours tétanisé, j'ai du mal à comprendre ce qui vient de ce passé quand la même voix cette fois douce et basse s'adresse à moi « Mlle ? Regardez-moi, personne ne vous ferras de mal. Je m'ap

égèrement la tête penche sur le côté « vous avez besoin de quoi ? » Je l'observe plus attentivement, elle porte un pantalon fluide avec une tunique beige, la couleur crée un assez jolie contraste sur sa peau chocolat, ell

est a peine un murmure

t vous avez besoin

ir d'i

aller

ment curieuse mais surtout sur son visage je ne lis aucune condescenda

j'essuies gauchement mes larmes, je ne saurais dire exactement ce qui chez cette femme me pousse à espère qu'elle m'en amené avec elle, peut-être sa voix quand elle a gronde le méchant mon

je connais justemen

alement j'allais pourvoir échapper à cet enfer qu'a été ma vie depuis ma naissance. Je ramasse mes affaires qui se sont éparpillés durant la bagarre, place ma

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