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IBIZAR

Les livres d'IBIZAR(16)

Dommage collateraux

Dommage collateraux

Romance
5.0
Toute ma vie on m’a répété que une femme qui avait réussi était une femme qui avait mari et enfants. Que une fois marié, je devais être soumise à mon mari, que être intelligente c’était bien mais je ne pouvais pas l’être plus que mon mari, qui voudrait épousé une grande gueule. Je m’appelle Jamila je viens de décrocher mon B.E.P.C et j’ai tout juste 15 ans et au lieu de me demande ce que je vais faire l’année prochaine, je dois choisir parmi les candidatures de mes nombreux prétendants et décidés avec qui est-ce que je vais passer le reste de ma vie pour le meilleur et pour le pire devant Allah et les hommes non pas pour moi mais pour entrer dans le moule d’une société traditionaliste, sexiste, misogyne et complètement aveugle devant la souffrance de ses filles. Tariq 27 ans père de jumeaux de 6 ans et veuf. Je viens de vous donner ma bio en moins de quinze mots. La société dans laquelle je vis exige que je me remarie pour offrir à mes enfants la stabilité dont ils ont besoin, jusqu’ici ma mère s’occupait très bien d’eux mais avec sa santé qui décline je dois trouver une femme pour la seconde fois. Bon je pourrais encore rajouté quelques informations à ma bio : je suis orphelin de père, fils unique du cote de ma mère qui est la deuxième femme de mon père et troisième du cote de mon père et son successeur. Venant d’une famille polygame je sais vous dire trois choses : 1) N’étant pas l’ainé, le rôle de successeur est une plaie surtout avec les miens 2) Je dois me marié, pour ma mère, mes enfants et moi-même sinon je peux dire adieu à ma mobilité hors c’est la seule chose qui me permet non seulement d’assurer le train de vie on ne peut plus onéreux de cette famille mais aussi de ne pas devenir complètement fou. 3) JAMAIS JE NE SERAIS POLYGAME ça a tué mon mon père à petit feu et c’est en train de me tue moi aussi.
À l'infini

À l'infini

Romance
5.0
Presentation: A l’infini….. Quand je l’ai vu la toute premiere fois j’ai su, j’ai su que c’était auprès de cette femme là, que je voulais me reveille chaque matin et m’endormir chaque soir. J’ai su que si je devais tombé amoureux de quelqu’un ça serait d’elle et pas d’une autre. Et j’ai eu deux ans, quatre mois, six jours, sept heures, et dix-sept minutes pour apprendre tout ce qui est humainement possible d’apprendre sur quelqu’un et de l’aimé a en perdre la raison. Aujourd’hui cinq ans après les terribles événements qui nous ont séparés je resent le besoin de la revoir. De revoir son sourire même si c’est de loin je sais que les chances pour qu’elle me pardonne ou même me reprenne dans sa vie sont inexistantes mais je dois la voir. Il le faut. ABSOLUMENT. Cinq longues années où il ne se passe pas un jour sans que je ne pleure de douleur, de manque. Ya Allah lui et moi avons eu si peu de temps, si peu de temps pour apprendre à nous connaitre, à nous aimer, à savoir quels genre de parents on serais, de grands-parents, de beaux-parents, quels genre de vieillards. Je commençais à peine à m’habitue à être complètement, entièrement et follement amoureuse de lui de ne plus en avoir peur et maintenant plus rien. Cinq ans que la seule certitude que j’ai c’est qu’il n’est pas mort malgré toutes les preuves que j’ai eu jusqu’ici, malgré les dires de ma famille, de sa famille. Mon mari, l’homme que j’aime, mon âme soeur est vivant là quelque part dans le monde, je ne sais pas comment mais je dois le retrouvé. Je dois le retrouve pour lui dire. Pour que lui et moi ayons plus de temps. Pour que enfin je puisse respire à nouveau comme il faut.
Le poids de la culpabilité

Le poids de la culpabilité

Aventure
5.0
- Je suis un homme, pas besoin de te dire ce que j’attends de toi. CLAC ! La gifle avait retenti, tellement fort, tellement violente que les voisins de palier auraient pu l’entendre. Il souffla soudain de colère et la plaqua violemment sur la porte de l’appartement avant de lui murmurer d’une voix dangereusement calme : - Tu viens de signer ton arrêt de mort ! ON NE ME FRAPPE PAS ! - Sinon QUOI ??? tu vas me jeter dehors ? tu vas me frapper à ton tour ? tu vas faire quoi ??? TU VAS FAIRE QUOI ??? tu vas me tuer comme tu as fait avec l’autre ? Et BOUM ! Une pensée de trop Une phrase de trop Une affirmation de trop Un mot de trop « L’autre ! » Elle vient de l’appeler l’autre ! pensait-il en encaissant les moindres effets que ce mot avait eu sur lui ! « L’autre » Un coup qui avait atterri de plein fouet dans sa conscience. Contre toute attente, il desserra son étreinte et posa ses deux mains sur le mur, le regard vide, livide, loin, mais les yeux plantés dans les siens ! Elle comprit. - Excuse-moi je… je ne voulais pas dire ça. Elle était pourtant la seule à lui tenir tête, la seule à ne pas la craindre. La seule qu'elle laissait faire ce qu’elle voulait de sa vie, de lui. Il se mit à la scruter, incapable de détacher ses yeux d’elle, comme si ses excuses lui faisaient soudain comprendre la personne qu’elle était devenue pour lui… celle qu’elle pouvait être dans sa vie; et ce que son opinion représentait pour lui. Il prit peur ELLE …elle venait de le traiter d’assassin, et d’accentuer le poids de sa culpabilité sur sa conscience. Elle venait tout simplement de détruire le peu d’humanité qu’elle avait réussi à construire en lui. Ce peu d’humanité qu’il s’était découvert à l’instant même mais qui venait de partir en fumée après ses mots. Elle releva la main pour lui caresser la joue, pour faire disparaitre ce voile de tristesse et de désarroi de son visage, mais il l’intercepta, fixant cette main comme si elle risquait de le bruler.