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Le poids de la culpabilité

Le poids de la culpabilité

IBIZAR

5.0
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- Je suis un homme, pas besoin de te dire ce que j'attends de toi. CLAC ! La gifle avait retenti, tellement fort, tellement violente que les voisins de palier auraient pu l'entendre. Il souffla soudain de colĂšre et la plaqua violemment sur la porte de l'appartement avant de lui murmurer d'une voix dangereusement calme : - Tu viens de signer ton arrĂȘt de mort ! ON NE ME FRAPPE PAS ! - Sinon QUOI ??? tu vas me jeter dehors ? tu vas me frapper Ă  ton tour ? tu vas faire quoi ??? TU VAS FAIRE QUOI ??? tu vas me tuer comme tu as fait avec l'autre ? Et BOUM ! Une pensĂ©e de trop Une phrase de trop Une affirmation de trop Un mot de trop « L'autre ! » Elle vient de l'appeler l'autre ! pensait-il en encaissant les moindres effets que ce mot avait eu sur lui ! « L'autre » Un coup qui avait atterri de plein fouet dans sa conscience. Contre toute attente, il desserra son Ă©treinte et posa ses deux mains sur le mur, le regard vide, livide, loin, mais les yeux plantĂ©s dans les siens ! Elle comprit. - Excuse-moi je... je ne voulais pas dire ça. Elle Ă©tait pourtant la seule Ă  lui tenir tĂȘte, la seule Ă  ne pas la craindre. La seule qu'elle laissait faire ce qu'elle voulait de sa vie, de lui. Il se mit Ă  la scruter, incapable de dĂ©tacher ses yeux d'elle, comme si ses excuses lui faisaient soudain comprendre la personne qu'elle Ă©tait devenue pour lui... celle qu'elle pouvait ĂȘtre dans sa vie; et ce que son opinion reprĂ©sentait pour lui. Il prit peur ELLE ...elle venait de le traiter d'assassin, et d'accentuer le poids de sa culpabilitĂ© sur sa conscience. Elle venait tout simplement de dĂ©truire le peu d'humanitĂ© qu'elle avait rĂ©ussi Ă  construire en lui. Ce peu d'humanitĂ© qu'il s'Ă©tait dĂ©couvert Ă  l'instant mĂȘme mais qui venait de partir en fumĂ©e aprĂšs ses mots. Elle releva la main pour lui caresser la joue, pour faire disparaitre ce voile de tristesse et de dĂ©sarroi de son visage, mais il l'intercepta, fixant cette main comme si elle risquait de le bruler.

Chapitre 1 Prologue

.

Bonne lecture 😍

PROLOGUE : ISAAC

- Je suis un homme, pas besoin de te dire ce que j'attends de toi.

CLAC !

La gifle avait retenti, tellement fort, tellement violente que les voisins de palier auraient pu l'entendre.

Il souffla soudain de colĂšre et la plaqua violemment sur la porte de l'appartement avant de lui murmurer d'une voix dangereusement calme :

- Tu viens de signer ton arrĂȘt de mort ! ON NE ME FRAPPE PAS !

- Sinon QUOI ??? tu vas me jeter dehors ? tu vas me frapper Ă  ton tour ? tu vas faire quoi ??? TU VAS FAIRE QUOI ??? tu vas me tuer comme tu as fait avec l'autre ?

Et BOUM !

Une pensée de trop

Une phrase de trop

Une affirmation de trop

Un mot de trop

« L'autre ! »

Elle vient de l'appeler l'autre ! pensait-il en encaissant les moindres effets que ce mot avait eu sur lui !

« L'autre »

Un coup qui avait atterri de plein fouet dans sa conscience. Contre toute attente, il desserra son étreinte et posa ses deux mains sur le mur, le regard vide, livide, loin, mais les yeux plantés dans les siens !

Elle comprit.

- Excuse-moi je... je ne voulais pas dire ça.

Elle Ă©tait pourtant la seule Ă  lui tenir tĂȘte, la seule Ă  ne pas la craindre. La seule qu'elle laissait faire ce qu'elle voulait de sa vie, de lui.

Il se mit Ă  la scruter, incapable de dĂ©tacher ses yeux d'elle, comme si ses excuses lui faisaient soudain comprendre la personne qu'elle Ă©tait devenue pour lui... celle qu'elle pouvait ĂȘtre dans sa vie; et ce que son opinion reprĂ©sentait pour lui.

Il prit peur

ELLE

...elle venait de le traiter d'assassin, et d'accentuer le poids de sa culpabilité sur sa conscience.

Elle venait tout simplement de détruire le peu d'humanité qu'elle avait réussi à construire en lui.

Ce peu d'humanitĂ© qu'il s'Ă©tait dĂ©couvert Ă  l'instant mĂȘme mais qui venait de partir en fumĂ©e aprĂšs ses mots.

Elle releva la main pour lui caresser la joue, pour faire disparaitre ce voile de tristesse et de désarroi de son visage, mais il l'intercepta, fixant cette main comme si elle risquait de le bruler.

Il la lĂącha brusquement et recula.

- Eloigne-toi de moi !

Ceci avait rĂ©sonnĂ© comme un fouet dans la tĂȘte de la jeune femme. Une simple affirmation qui avait un sens bien plus complexe. Mais il renchĂ©rit.

-eloigne toi de moi, je suis toxique pour toi !

- Je ne peux pas ! Je t'aime trop pour le faire !

Il sursauta, puis se détacha d'elle.

Elle le fixa de ce regard qui arrivait à sonder son ùme. Ce regard, cet air qui lui montrait carrément qu'elle arrivait parfaitement à lire en lui comme dans un livre ouvert.

Il s'éloigna encore plus afin d'éviter ses yeux... il avait l'impression de passer au détecteur de mensonge devant elle.

Il s'assit sur le sofa, dans le noir de son salon, de telle sorte qu'elle ne voit pas les expressions de son visage. Et lĂ , toute la douleur de son existence se traduit soudain dans les mots qu'il s'apprĂȘtait Ă  prononcer.

- Je ne veux pas de ton amour, je ne veux tout simplement pas d'amour dans ma vie. Ce n'est pas de ma faute, je n'aime pas ce que l'amour me fait c'est tout.

- Tu MENS... cria t-elle en pleurant

- L'amour m'a rendu faible et il me rend toujours aussi faible, il me rend aveugle, il me perturbe et me déconcentre. Je n'ai plus le droit d'aimer, Je n'ai pas le temps d'aimer... je... l'amour c'est pour les faibles.

Sa derniÚre phrase avait provoqué un hoquet chez la jeune femme qui murmura : mon Dieu quel genre d'homme es-tu ?

- Le genre d'homme que tu ne pourras jamais contrÎler, le genre d'homme qu'il ne te faut pas dans ta vie d'innocente. Je suis trop sombre pour toi, pars ! Va-t'en ! je ne te mérite pas !

Elle Ă©clata en sanglots et sortit brutalement avant de claquer la porte derriĂšre elle. Il savait qu'elle Ă©tait Ă  l'autre bout de la porte, il savait qu'elle pleurait, oui, il n'avait pas besoin de le deviner, il entendait clairement ses reniflements.

Tic

Tac

Tic

Tac

Tic

Tac

Le tictac de la pendule accrochée sur le mur de cet appartement n'avait pas réussi à déconcentrer une certaine personne.

Isaac !

Il avait toujours son smoking sur lui, souliers huilĂ©s et bien cirĂ©s, gilet gris assorti Ă  sa cravate. Tout semblait parfait pour cet homme aux abords de cadre accompli, Tout, ou... presque tout, sauf l'Ă©tat de son esprit et de son cƓur Ă  cet instant prĂ©cis.

Il Ă©tait lĂ , dans le noir, broyant du noir, mais aussi se remettant Ă  peine de ce qui venait de se passer.

Pourtant il venait d'avoir une promotion !

Oui, il venait d'ĂȘtre sacrĂ© plus jeune entrepreneur de l'Afrique de l'ouest avec le plus important trophĂ©e du AFRICAN GENDER AWARDS, pour son Age !

Mais ceci ne semblait pas vraiment avoir un quelconque effet sur l'homme qu'il Ă©tait, ou... sur l'homme qu'il Ă©tait devenu. Cela semblait ĂȘtre comme une punition pour lui, alors qu'il venait de montrer son vrai visage Ă  la seule femme qui l'avait sauvĂ©, Ă  la seule femme qui avait compris son dĂ©sarroi.

Il venait de montrer son vrai visage Ă  la seule et unique personne qui arrivait Ă  lire en lui comme dans un livre ouvert, la seule personne qui parvenait tant bien que mal Ă  lui faire oublier ce FANTOME qui le hante !

Il entendit un grand fracas de la porte en bas de l'immeuble lui montrant qu'elle était définitivement partie.

La culpabilité finira-t-elle par le quitter un de ces jours ?

NON!

Sa culpabilité était sa punition ! et il le savait.

Il se faufila dans sa salle de bain, prit une douche rapide, puis se glissa sous ses draps noirs, et entrai dans un sommeil sombre, avec ses démons.

« Bonne nuit Isaac Mohamed Cissé »

7h25

Isaac s'Ă©tait rĂ©veillĂ© en Ă©tant un autre homme ! costard sur mesure, cravate bien nouĂ©e et gilet bien ajustĂ©. Il mit ses souliers, ses lunettes Ray ban, prit ses clĂ©s et jeta un dernier coup d'Ɠil au dĂ©sordre de son appartement avant de sortir.

Sa Mercedes ML 350 l'attendait au pas de sa porte, et sans un regard pour ses voisins se tenant devant le marchand de pain, Isaac entrait dans la voiture sans manquer d'entendre ce fameux surnom qu'on lui avait alloué et dont il n'était pas forcément fier : Salaud !

Il sourit avant de démarrer en trombe, provoquant un grand amas de poussiÚre derriÚre lui.

C'était sa réponse à ces losers qui le traitaient de salaud, pensait-il en souriant de plus bel et en appuyant sur la pédale de vitesse.

220 km Ă  l'heure !

C'était sa dose d'adrénaline quotidienne là sur l'autoroute menant vers son entreprise. Et il s'y appliquait tous les jours ! il avait envie de mourir, comme le disaient certains, mais pour lui c'était sa routine matinale, son café du matin !

La grande vitesse !

8h20

L'entreprise SOSETRA était inhabituellement bondée à cette heure de la journée. En réalité 8h était l'heure à laquelle les ouvriers devaient se réunir pour leur shift et leur programmation. Mais cette petite réunion avait été retardée par la responsable du personnel de terrain qui, était arrivée en retard pour la premiÚre fois de sa vie ! la seule fois depuis qu'elle avait intégré l'entreprise.

Malheureusement pour elle !

« S'il vous plait, faites votre pointage et partez avant que je... »

« Avant que quoi ? Martine, tu as peur de Mr Lunatique ?

« Qui n'a pas peur de lui ? il ne respecte rien, il se fout de tout et peut te renvoyer sans état d'ùme ! »

En réalité elle avait plus peur pour sa punition qu'autre chose.

« Il ne peut pas renvoyer les gens sans motivation ni raison. C'est quoi ça ? on est dans nos droits vous savez »

Martine Ă©tait juste dĂ©pitĂ©e d'entendre ces gens parler de la sorte. Elle soupira : il a le droit de renvoyer qui il veut, quand il le veut. Il peut nous renvoyer tous pour ça !! le shift devait ĂȘtre fait avant 8h c'est ce qu'on a tous signĂ© dans nos contrats. Et lĂ  il est 8H30 GROUILLEZ VOUS !!!!

Elle ne savait pas sur quel pied danser avec cet homme, mieux valait ne pas le contrarier, pensait-elle en signant le dernier shift du matin. Mais alors qu'elle allait faire l'appel spontané, un parfum familier se fit sentir d'abord avant qu'Isaac ne pénÚtre dans le hall de l'entreprise.

La seconde qui avait suivi, leurs regards s'étaient croisés. Tout le monde était suspendu à sa démarche assurée. Mais il n'avait prononcé aucun mot !!!!

AUCUN MOT.

RIEN !

Juste un geste, un signe de tĂȘte, un ordre pour ĂȘtre clair, intimant Ă  Martine de le rejoindre dans son bureau.

Il n'avait pas besoin de parler, et elle ne se fit pas prier !

Il fallait tout faire sauf le contrarier, pensait-elle en attendant qu'il disparaisse dans le couloir pour se tourner vers les ouvriers : vous voyez ! pfff ! allez-y et faites vous petits sur le terrain, Mr Cissé est tout sauf mÚre ThérÚsa, je vous le dis !

8h40

Les deux mains dans les poches, Isaac scrutait la meilleure vue de son bureau : la plage de la voile d'or. Il aimait ce qu'il voyait et c'était le seul moment de la journée ou il s'apaisait vraiment. Ses démons n'étaient pas portés vers la contemplation de la nature.

Et sans le vouloir son esprit divagua vers son enfance, vers ces jours oĂč sa mĂšre n'avait rien Ă  leur mettre dans le ventre, vers ces jours oĂč, ils avaient Ă©tĂ© obligĂ©s de...

« Je suis désolée je.... »

La voix de martine l'extirpa brutalement de ses pensées sombres. Mais il ne se retourna pas, il lui murmura juste : ferme la porte !

Un ordre !

Martine le savait ! et elle obéit.

Quand Isaac se tourna soudain vers elle, elle semblait trembler... il s'approcha d'elle et sans mĂȘme la toucher, il arrivait Ă  rĂ©veiller ce qui sommeillait chez la jeune femme. Sans rĂ©sister, elle entoura ses bras autour de son cou : Isaac ne fais pas ça !!!

Il sourit puis la retourna brusquement et la plaqua sur le bureau. Il Ă©tait derriĂšre elle, sa bouche tout contre son cou. Il lui chuchota : tu sais que je n'aime pas les retards !

- ....

- tu perturbes mon travail avec cette jupe !

- Je ne cherche que ça... JE NE VEUX QUE ÇA.

- Shuuuuuuut.

Il soupira se sentant soudain ridicule mais il aimait bien le jeu qu'il jouait avec cette femme. Il promena sa main jusqu'Ă  sa jupe et dĂ©couvrit avec grĂące qu'elle Ă©tait juste nue sous son vĂȘtement. Son membre Ă©tait dĂ©jĂ  dressĂ© quand il le sortit et sans un seul mot de plus, il s'enfourra en elle, sans aucune espĂšce de prĂ©liminaires.

Elle gémit.

Quelques minutes plus tard, Martine sortait du bureau du boss comblée.

Ce qu'elle ne savait pas, c'était que cet homme, ce cadre accompli n'était rien d'autre qu'un homme hanté et perturbé. Mais de surcroit un grand salaud qui en aura fini avec elle bien avant qu'elle ne s'en rende compte !

Qui est ISAAC MOHAMED CISSÉ ?

« ISAAC ou le poids de la culpabilité »

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