Le visa
nt bien en place. Les élections présidentielles non les élections pestilentielles devaient servir à ça. Et Wahanda-Wat
un que
os français de la France. Il se disait avocat d'affaires, expert en assurances, expert en comptabilité, expert
a majorité au palais de la Renaissance ! Moi président de la République, je ne traiterais pas mon premier ministre non mon premier sinistre de collaborateur ! Moi président de la République, je ne participerais pas à des collectes
avait toujours refusé. Et puis, le candidat aux législatives et aux présidentielles, le soi-disant grand Wahanda-Wataka fut annoncé à Bangassou. Kouroudio-Karakouro, son suppléant mais bras droit réussit
Wahanda-Wata
n répétant interminablement : « Wahanda-Wataka député-président de la république ! ». Évidemment, la foule sur ordre criait en désordre comme s'ils avaient fumé du paspalom15. Une estrade de fortune avait été dressée au milieu de l'aire de jeu. Tout autour, ça valdinguait au son des tam-tams, des grelots, des balafons, des castagnettes.
Je sais ce que je dis. Nous ne sommes que des misérables. Nous prenons notre vie, celle de nos femmes, de nos enfants, de nos petits enfants ainsi
onse, Wahanda-
nner tout et tout : le manger à satiété, le dormir à l'aise et sans cauchemar, le soigner cade
gorge, et dit su
ez-moi parce que je ne vais pas tendre les mains de mendiants à l'ex-pays recolonisatueurqui a été toujours les causes de nos pires malheurs et des coups d'État mille dégâts pour placer à la tête de notre pays leurs diri
ous mélangés à des Wahanda-Wataka oyé oy
ie, de mal-governo. Moi, là-haut, no palaba19entre la majorité présidentielle et les oppocons non les opposants. J'ai des solutions miracles-oracles pour notre p
é. Monzoko se mit à chanter. Wahanda-Wataka qui jusqu'alors n'avait en réalité pas très bien écouté les uns ou les autres fu
ez-le ! Appl
t. Le candidat prési
utenir qu'il devienne un grand-quelqu'undans le milieu musical, et qu'il chante partout-partout. En Afrique. En Europe. En Asie, dans le monde entier et ailleurs. Au nom de cette ville qui
que la voix de Monzoko serait un des hameçons qui capturerait pour lui d'autres sympathisants. Et le premier meeting se passa bien. Et la campagne se poursuivit. Tout doucement. T
ps pas
de Bangassou le récompensa en lui gratifiant beaucoup et beaucoup de gros billets de francs céphaléequi étaient tout craquant. Parce qu'ils avaient fait un deal avant que les candidats de tous les bords se mettent dans le starting-block du démarrage sur les chapeaux de rouille de la campagne électorale. Les dés étaient donc piqués à l'avance, pas possible ! En plus de ces mille millions de francs céphalée, il lui offrit une grosse cylindrée et des bourses d'avenir pour ses enfants qui avait été gâté par Wahanda-Wataka. Dans les heures qui suivirent, pas étonnant qu'il adressa les bonnes parol